historique

Historique

Le PSPCongo a été constitué le 30 juin 1998 par des socialistes congolais qui ne se reconnaissaient dans aucune formation politique congolaise déjà existante. Le PSPCongo a été régulièrement reconnu et recensé par le ministère de l'intérieur de la République Démocratique du Congo en 2001, sous la référence : 25/cab/mini/inter/2282/2001.

Le PSPCongo n'est ni un nouveau parti ni un parti nouveau. C'est un parti historique qui doit son origine aux luttes menées tout au long de l'Histoire par la catégorie de la société toujours exclue de la modernité, du développement économique, social ou juridique. C'est la lutte de tous ceux qui veulent avoir leur place au sein de la société nationale, de ceux qui veulent que la dignité de tout individu soit reconnue.

C'est la lutte permanente de ceux qui veulent apporter leur contribution à la construction du pays et au développement de la société nationale. Cette revendication fondamentale, le PSP en fait sa base principale d'action. Le PSP s'inscrit donc dans le socialisme démocratique tel que défini par l'Histoire : démocratie politique, démocratie économique, démocratie sociale et solidarité.

Le PSPCongo n'est pas et ne sera jamais la propriété privée d'un individu ou d'un groupe d'individus. Il est dirigé par des responsables socialistes désignés par le vote démocratique des militants à tous les échelons.


*** Ici, le Parti Socialiste Progressiste : nous oeuvrons pour la Paix, la Justice, la Solidarité et la Responsabilité ***
*** Ils ont rêvé, ils ont cru, mais ils n'ont pas abouti... parce qu'ils ne se sont pas entendus ! ***

Petite réflexion sur les organismes internationaux en RDC.

Et si nous faisions un petit bilan rapide ou plutôt une petite réflexion sur la crise congolaise eu regard aux Organismes internationaux. 
L'O.N.U. créée pour assurer la paix dans le monde, mais presque totalement au service des 5 membres Permanents du Conseil de Sécurité et par ailleurs les plus grands fabricants et vendeurs d'armes au monde, à travers la MONUSCO, l'ONU,disions-nous, se servant des Tutsi rwandais, burundais et ougandais, a su créer dans les cœurs des Congolais et Congolaises une RANCŒUR profonde et quasiment irrémédiable. 
L'U.A. l'ex- OUA, alors qu'elle avait inscrit dans sa Charte en 1963 le principe de l'intangibilité des frontières et l'intégrité territoriale des Etats africains membres, l'Union Africaine, totalement dépendante de l'Union Européenne a, par son silence ou plutôt par son inaction devant la crise congolaise, contribué aussi à renforcer ce sentiment de rancœur. 
Les CongolaisEs blesséEs, humiliéEs ne peuvent qu'entretenir et développer naturellement un sentiment de REVANCHE. Revanche sur leurs bourreaux actuels,revanche sur la MONUSCO en place. Et tout cela peut les conduire à se poser des questions sur la présence de leur pays dans ces organismes qu'ils considèrent "nocifs" qui ont contribué aussi (à tord ou à raison) à leur drame. 
C'est ce que nous appelons RÉBELLION. Une rébellion qui peut se manifester d'une façon ou d'une. 
Au total notre petit bilan rapide peut se résumer par ce que nous appelons les 3 R : "Rancœur,Revanche et Rébellion". A bon entendeur salut.

Nouvelle intervention de la M.P.P.

Nouvelle publication de la  MAJORITÉ  PRÉSIDENTIELLE  POPULAIRE, "M.P.P"

Membre de la M.P.P.  nous publions ici  une nouvelle intervention que nous soutenons totalement.


DISCOURS DE KABILA SUR L’ETAT DE LA NATION :« TROP TARD, TROP BREF ET TROP IRRESPONSABL E ! »

by mpp

DISCOURS DE KABILA SUR L’ETAT DE LA NATION :« TROP TARD, TROP BREF ET TROP IRRESPONSABLE ! »

par mpp le 16 décembre 2012
diomiMPP

DISCOURS DE KABILA SUR L’ETAT DE LA NATION :

« TROP TARD, TROP BREF ET TROP IRRESPONSABLE ! »

Le 15 décembre 2012, Joseph Kabila a tenu un discours sur « l’Etat de la Nation » dont le caractère soporifique et surréaliste a surpris la majorité des congolais. Dans une phase de notre histoire commune où les formules incantatoires ne garantissent plus le « statu quo », les limites de cet exercice oratoire abstrait ressortent de son caractère déconnecté de la réalité politique, sociale et surtout sécuritaire du Congo.

Encore une fois de plus, M. Kabila prend les congolais pour des sous-citoyens.

Ce discours à la nation ne nous apprend rien, d’autant plus qu’il apparait que seulement aujourd’hui, face à la débâcle militaire et de sa politique sécuritaire, M. Kabila pense construire une armée nationale, apolitique et républicaine : il était où, ces derniers 11 ans, pour ignorer cette faiblesse de l’état congolais ?
Peut-on combattre des visées expansionnistes des pays voisins de la RDC en enrôlant dans le désordre le plus total nos agresseurs dans nos propres forces armées ?
Et pourtant c’est cela la fondation de politique sécuritaire menées par M. Kabila depuis 11 ans de « mixages ».Nos dénonciations, nos craintes n’auront servi à rien, sauf à nous faire traquer comme des sous-citoyens à abattre.
M. Kabila demande à la jeunesse de s’enrôler massivement dans l’armée pour défendre la nation; comment va-t-il entretenir cette armée de circonstance alors que les récents événements qui se sont déroulés à l’Est du pays ont démontré suffisamment l’impréparation, la misère et les faiblesses logistiques et de commandement dont souffrent nos hommes engagés au front ?
Ce discours prononcé devant un auditoire largement acquis à sa cause, ne doit pas nous détourner de la réalité.
En effet, le peuple congolais a le droit de savoir :
- Quelle est la vraie nature du M23 et quelles sont ses revendications réelles ?
- Que stipulent ces accords secrets signés par Kabila avec des mouvements rebelles ainsi que le Rwanda et L’Ouganda et pourquoi sont- ils secrets ?
- POURQUOI M. KABILA AVAIT AUTORISE LA PRESENCE DE TROUPES RWANDAISES EN TERRITOIRE CONGOLAIS MEME APRES LEUR DEPART OFFCIEL ET A L’INSU DES CITOYENS CONGOLAIS ?
- Le Rwanda et l’Ouganda étant formellement reconnus comme soutiens à ces mouvements rebelles par des Rapport Officiels des Groupes des Experts des Nations Unies, quel est le degré d’ implication réciproque dans l’agression de la RDC ? D’autant plus qu’il est difficile de comprendre la PROCHAINE participation à une force dite NEUTRE de ces mêmes pays accusés d’agresser le Congo…
- Pourquoi avoir choisi Kampala au lieu de Brazzaville, par exemple, comme lieu de négociation?
Beaucoup de questions qui n’ont aucune réponse précise dans cette projection incantatoire de l’Etat de la Nation congolaise.
De plus, nous avions déjà dans le passé décrié la dangerosité d’une politique jonglant entre négociations avec des « Mutins » et les alliances ambiguës avec des pays qui soutiennent cette génération continuelle de rebellions de proxy hostiles : AFDL, RCD, CNDP et M23…
LES JEUNES CONGOLAIS NE PEUVENT DEVENIR ETERNELLEMENT LA CHAIRE A CANON SACRIFIEE SUR L’AUTEL DES ACCORDS SECRETS ENTRE KABILA, KAGAME ET MUSEVENI !
IDEM POUR LA COHESION NATIONALE, DONT LE MESSAGE GLANE DANS SON DISCOURS SERAIT ADRESSE PARTICULIEREMENT A L’OPPOSITION POLITIQUE:
JUSQU’ A LA VEILLE DE CET EXERCICE ORATOIRE, MOI – MEME JE CONTINUE A FAIRE LES FRAIS DE LA TRAQUE AUX OPPOSANTS POLITIQUES LES PLUS ENGAGES. PAS SEULEMENT M. KABILA IGNORE LA REVENDICATION DE LA LIBERATION DES OPPOSANTS POLITIQUES QUI SONT EN PRISON OU BIEN DETENUS AU SECRET PAR LES SERVICES DE SECURITE EN CE MOMENT, MAIS IL CONTINUE A TRAQUER LES OPPOSANTS A KINSHASA, AVEC L’INSTRUMENTALISATION HONTEUSE DE L’APPAREIL POLITICO-JUDICIARE.
ENCORE DES BEAUX DISCOURS SUR LA COHESION NATIONALE DESTINES A DISTRAIRE LES CONGOLAIS, LES DESORIENTER POUR NE JAMAIS AFFRONTER LES QUESTIONS DE FOND QUI MINENT LES FONDATIONS DE L’ETAT CONGOLAIS EN CE MOMENT:
- QUID DE LA MISE EN DISCUSSION DE LA LEGITIMITE DU POUVOIR DE M. KABILA?
- QUID DE SON HOLD UP ELECTORAL?
- QUID DU PROCESSUS ELECTORAL LE PLUS DECRIE AU MONDE DONT CE PARLEMENT ANIME EN MAJORITE PAR DES APPLAUDISSEURS TIRE SA PRETENDUE LEGITIMITE?
JUSQU’ AU MOMENT OU KABILA NE REPONDRA A CES QUESTIONS, LE MAL CONGOLAIS QUI GANGRENE NOTRE ETAT CONTINUERA A NE PAS ETRE DIAGNOSTIQUE CONVENABLEMENT. LES INCANTATIONS DES « BEAUX DISCOURS » NE PEUVENT PLUS FONCTIONNER POUR PERENNISER LE POUVOIR DE CEUX QUI NE SE MONTRENT PAS A LA HAUTEUR DES DEFIS LANCE A LA NATION CONGOLAISE.
QUELLE COHESION EST-ELLE POSSIBLE ALORS QUE MEME LES MANIFESTATIONS DE SOUTIEN AU POPULATIONS MASSACREES DE L’EST OU BIEN A L’ARMEE NATIONALE SONT REPRIMEES ET INTERDICTES?
LIBEREZ LES PRISONNIERS POLITIQUES, M. KABILA, ET RECONNAISSEZ LE PLEIN ECHEC DE VOTRE POLITIQUE SECURITAIRE DEPUIS 11 ANS.
LA VERITE EST QUE LES RESSOURCES DU PAYS SONT UTILISEES POUR REPRIMER LE PEUPLE CONGOLAIS ET NON POUR COMBATTRE SES ENNEMIS:
PLUS DE 42.000.000 DE DOLLARS ONT ETE DEPENSES POUR REPRIMER LES CONGOLAIS APRES LES ELECTIONS SUR L’ENSEMBLE DU TERRITOIRE NATIONAL: DES CHARS DE COMBATS A PROFUSION ET DES POLICIERS EN TENUE ANTI-EMEUTES POUR EMEPECHER LA REVOLTE DU PEUPLE CONTRE L’ HOLD UP ELECTORAL. LES ELEMENTS DE LA GARDE REPUBLICAINE HABILLES EN POLICIERS SONT MEME PASSES DE MAISON EN MAISON POUR ENLEVER NOS JEUNES ET POUR LES TUER. MAIS POUR COMBATTRE CEUX QUI AGGRESSENT LE CONGO, KABILA N’ A RIEN DE MIEUX A OFFRIR QUE DES TROUPES AFFAMEES ET TRAHIES PAR DES CHEFS CORROMPUS PRETS MEME A VENDRE LES ARMES A L’ ENNEMI DANS L’IMPUNITE LA PLUS TOTALE.
QUELLE ARMEE PEUT RESISTER A LA TRAITRISE DE CEUX QUI SE CACHENT DERRIERE LES ORDRES DE « REPLIS STRATEGIQUES » CHAQUE FOIS QU’ELLE AVANCE OU BIEN ELLE EST PROCHE D’UNE VICTOIRE?
C’EST N’EST PAS LA FAIBLESSE QUANTITATIVE OU BIEN LE VIEILLISEMENT DES TROUPES, M. KABILA, QUI MINE L’ARMEE CONGOLAISE MAIS L’INDIFFERENCE DES CHEFS FACE A L’AVENIR DU CONGO.

Que dire de la référence opportuniste à un « instrument politique de cohésion » innommé et indéterminé, que vous aurez la magnanimité d’adopter « le moment opportun » (fin de citation) pour cimenter la cohésion nationale ?

Nous tombons ici en plein paternalisme et surréalisme politique…

M. Kabila n’a même pas le courage de citer, face à sa majorité artificielle issue de la fraude électorale et d’un Senat désormais fin mandat depuis presqu’une année, la parole « Dialogue ».

Cela laisse bien comprendre l’attitude crispée qui l’anime face à cette exigence vitale de légitimation des institutions politiques après le holdup up électoral de novembre 2011.

- Ce discours à la Nation largement lacunaire même dans la dénonciation de l’agression de la RDC, enfin extériorisée même si à travers des formules ambiguës selon lesquelles « Tout aurait été dit sur l’agression de la RDC » (fin de citation) arrive trop tard ;

- Il est trop bref et superficiel, car ne donne aucune réponse aux congolais sur les raisons de la débâcle politique, militaire et diplomatique que vit la RDC en ce moment ;

- Il présente une lacune majeure dans le chef de son orateur : le timonier n’assume aucune responsabilité par rapport au naufrage du navire qu’il s’entête à conduire à tout prix, jusqu’ ‘à l’humiliation suprême de toute une nation.

- Que dire de la leçon que M. Kabila veut donner à la Monusco, alors que lui-même ne tire aucune leçon de l’échec de sa propre politique sécuritaire ?

Face au bilan désastreux de sa politique de navigation à vue, il aurait été plus sage, de la part de M Kabila, d’exprimer ses regrets et assumer ses responsabilités, car aucun congolais ne croit plus aux mirages des chantiers fantaisistes toujours inachevés ou bien au mythe d’une modernisation de propagande vide de contenu concret en terme de développement et de sécurité.

Trop tard, trop bref et trop irresponsable, M. Kabila !

Fait à Kinshasa le 16/12/2012
Eugène DIOMI NDONGALA,
Président National de la Démocratie Chrétienne, D.C.
Porte-Parole de la Majorité Présidentielle Populaire, M.P.P

Membre de la Majorité Présidentielle Populaire, M.P.P  nous reprenons et publions sur notre blog ce discours complet, sans équivoque, prononcé par notre porte parole, Monsieur Eugène Diomi Ndogala.  Nous en sommes fiers.

COMMUNIQUE DE LA MPP SUR LA CRISE DE LEGITIMITE QUI FRAPPE LA RDC ET SES IMPLICATIONS DIRECTES SUR LE CONFLIT QUI FRAPPE L’EST DE LA RDC

MPP
  MPP

COMMUNIQUE DE LA MPP SUR LA CRISE DE LEGITIMITE QUI FRAPPE LA RDC ET SES IMPLICATIONS DIRECTES SUR LE CONFLIT QUI FRAPPE L’EST DE LA RDC

La République Démocratique du Congo est frappée par une grave crise de légitimité qui trouve ses origines dans la fraude électorale massive et le bourrage des urnes qui ont caractérisé les élections présidentielles et législatives de novembre 2011, cautionnées par un Commission Electorale partisane.

L’absence de crédibilité de ces élections avait provoqué une importante réaction populaire réprimée dans le sang au mois de décembre 2011 et janvier 2012. Par la suite, le président sortant Joseph Kabila, prêtant sermon dans un camp militaire sécurisé craignant la réaction populaire, a continué à suivre la logique néfaste de placer les forces politiques et sociales congolaise  acquises au changement devant le  « fait accompli » d’un « putch politique et administratif »,  tout en réprimant les droits civils et politiques ainsi que  les droits de l’homme des citoyens congolais.
L’échec de sa gouvernance  depuis une décennie a été à la base du rejet de sa candidature de la part de la majorité des congolais, qui ont voté massivement en faveur de S.E. Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
L’échec de la politique sécuritaire du président sortant, en particulier,  est à la base de la débâcle militaire des forces armées congolaises face à la rébellion de « proxy » dite M23 qui, en se prévalant ouvertement de complicité à l’intérieur de l’Etat-major Militaire et  même au plus haut niveau de l’Exécutif issu de la fraude électoral, a pu prendre le contrôle d’une partie du territoire nationale dont la capitale provinciale du Nord Kivu, presque sans combat.
En plus de cette complicité interne, due à la faiblesse et à la duplicité de la gouvernance kabiliste,  plusieurs rapports des Nations Unis ont donné des éléments de preuve  du soutien du Rwanda et de l’Ouganda à la « rébellion de proxy M23 » laquelle, manifestement, est utilisée comme couverture d’une agression de la RDC de la part de ses voisins membres  de la CIRGL, Communauté Internationale de la Région des Grands Lacs.
Dans ce contexte politico-militaire, la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, tient à souligner ce qu’il suit:
1.      Les pourparlers de Kampala entre l’exécutif de M. Kabila issu de la fraude électorale et la « rébellion de proxy M23 » ne peuvent donner aucune solution tant aux problèmes régionaux qu’aux problèmes nationaux de la République Démocratique du Congo, car les deux interlocuteurs des discussions dites de paix  sont tous les deux dépourvus de toute légitimité pour parler et engager le peuple congolais ;
2.      L’organisation de ces pourparlers sous l’égide de l’Ouganda les place sous une  médiation partisane, à cause de l’implication directe dans le conflit tant de l’Ouganda que de son allié régionale rwandais : il est aberrant qu’au moment où plusieurs rapports des Experts de l’Onu publient des documents circonstanciés mettant en exergue l’implication de forces armées rwandaises et ougandaises, le président sortant Joseph Kabila se plie passivement à accepter la médiation de ces deux pays dans le conflit qui frappe le Nord et Sud Kivu, faisant apparaitre ce même conflit tantôt comme une agression internationale et tantôt comme une mutinerie interne sans implications internationales. Ce jonglage continu de la  communication  et de la diplomatie ne fait qu’accroitre l’incapacité de la RDC à bien se faire représenter et défendre   ses intérêts, reproduisant curieusement sur le plan des rapports internationaux  et diplomatiques la logique  militaire néfaste  dite des « replis stratégiques »  qui ont permis au M23, sur le plan militaire,  de contrôler la ville de Goma et d’autres localité de la RDC avant elle presque sans combattre ; sur le plan diplomatique, le jonglage entre les accusations d’agression et le retrait par la suite de ces accusations dans des sommets régionaux, ont placé la RDC dans l’impossibilité de se défendre convenablement  prenant à témoin la communauté internationale et le Conseil de sécurité de l’ONU.
3. Il sied de souligner le choix opportuniste des délégués du M23 à Kampala d’évoquer la crise de légitimité qui frappe la RDC afin élargir l’assiette de discussion et se tailler ainsi un plus grand espace de négociation  de pouvoir. La MPP tient à souligner que les pourparlers de Kampala n’ont ni la crédibilité ni la compétence à établir un «  ordre institutionnel nouveau ».
4. De plus, l’échec annoncé de ces négociations, vu le manque de sérieux qui les caractérise sur le plan la représentativité des délégations présentes et l’absence de cadre crédible de discussion, ne fera que confirmer le « statu quo » qui risque d’être sanctionné par le déploiement d’une force dite neutre, à l’intérieur du territoire national .
5.      La MPP exprime la crainte que l’échec annoncé de ces pourparlers ne soit prévu à dessein afin de confirmer la reconnaissance de l’administration M23, dans le temps et dans l’espace,  sur une partie du territoire national, dans l’objectif, qui n’est plus caché, d’en faire un territoire « autonome » placé sous l’égide politique et militaire des pays des Grands Lacs impliqués activement dans le conflit qui frappe le Nord et le Sud Kivu depuis des années.
Dans ce contexte caractérisé par une trahison interne des intérêts supérieurs du peuple congolais, il ne reste à la nation congolaise qu’une prise de conscience collective de la nécessité de reprendre le contrôle de son destin, mettant un terme l’usurpation de pouvoir qui gangrène les fondations de l’Etat congolais.
La MPP soutient la nécessité immédiate de l’organisation d’un vrai Dialogue National, sous l’égide d’une médiation neutre, ayant comme objet principal à son Ordre du Jour la solution de la crise de légitimité qui frappe actuellement la RDC.
C’est seulement après la mise en place d’un ordre institutionnel légitime que le Congo Démocratique pourra rétablir l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire nationale, car un gouvernement de « Vichy » illégitime ne pourra jamais trouver des solutions de long terme pour une paix durable sur l’ensemble de son territoire national.
Vérité et  Justice pour le Congo,
Le Peuple d’Abord,
Fait à Kinshasa, le 11/12/2012
Pour la Majorité Présidentielle Populaire, MPP,
Son Porte-Parole,
Eugène DIOMI NDONGALA

La révocation du Rwanda du Conseil de Sécurité de l' O.N.U.


RDC : Les femmes Congolaises exigent la révocation du Rwanda au Conseil de Sécurité des Nations-Unies

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image Conseil de sécurité des Nations Unies

C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception  que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est  le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
Ref: FCDD/MCB-RM/002/1012                                                        
A Monsieur le Président du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, 760 United Nations Plazza, Manhattan, NY 10017, USA
Objet: La révocation du siège Rwanda au Conseil de Sécurité
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception  que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est  le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
En dépit de plusieurs protestations, vous aviez délibérément accepté sa candidature et de le faire élire par un vote que nous jugeons cynique car vous n’aviez pas tenu compte de plusieurs rapports de vos experts qui ont démontré avec force détail des agressions maintes fois répétées de ce pays contre la République Démocratique du Congo, agressions qui se sont traduites par 8.000.000 de morts d’innocentes victimes congolaises et enfants massacrés dans des conditions inhumaines ainsi que d’autres enterrées vivantes.
Vous n’allez pas nous dire que vous ignoriez ces faits. Mais, malgré cela, vous aviez accepté de siéger avec ce pays sanguinaire. Permettez-nous de vous dire que vous venez  de commettre une entorse grave en violant les prescrits de la charte et du règlement d’ordre intérieur de votre institution.
En effet, en acceptant le Rwanda, c’est comme si vous faites revenir l’Allemagne Nazie dans le concert des nations, en crachant sur la mémoire de 6.000.000 d’innocentes victimes juives, mortes dans des conditions atroces, dans des chambres à gaz, dans le froid, de la malnutrition et des maladies dues a des mauvais traitements leur infligés par les nazis.
En acceptant le Rwanda, vous êtes entrain de cautionner le génocide congolais, planifié par Bill Clinton et ses amis des multinationales qui sont entrain de spolier les richesses de notre pays, comme le fut jadis pour les juifs où l’on avait assisté à un génocide industriel, monstrueux, gigantesque, inoubliable.
Plusieurs millions d'Européens – Juifs ou non - furent assassinés dans les camps de concentration et d'extermination. Les chemins de fer européens, une administration publique, des hommes d'affaires, des industries chimiques, des entreprises de construction... furent réquisitionnés, se portèrent volontaires ou se montrèrent intéressés financièrement pour œuvrer au bon déroulement de cette épuration ethnique et politique.
Rappelez vous qu'à Nuremberg il était fait mention de : PLUS JAMAIS Ça !!! Y a-t-il une amnésie volontaire pour l'HOLOCAUSTE des congolais ? le monde entier est devenu aphone, car les « grands » de ce monde sont entrain de faire un travail ignoble par leur enrichissement illicite au dos des congolais, en se servant gratuitement de ses ressources et participant à l'extermination de ce peuple qui ne demande qu'à vivre ?
Aujourd'hui, nous FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, savons où se trouvent les assassins, les voleurs, et bandits aux cols blancs qui ont planifié ces crimes qui relèvent de la barbarie, d'une société en perte de civilisation en pleine décadence.
Le peuple congolais vit actuellement le racisme, du fait de la cruauté des descendants du Ku Klux Klan, des négriers,  des esclavagistes du 15è, 16è, 17è, 18è, 19è siècle…Encore aujourd'hui, nous ne voyons aucune différence  si l’on enjuge les atrocités qu'ont subies les noirs d'Afrique déportés au nouveau monde par la férocité des conquistadors blancs…
Nous ne sommes pas dupes, et sommes conscientes de leur complexe de supériorité, de leur appétit frénétique de l'argent qui les poussent à massacrer, tuer, égorger, voler sans scrupule en RDC.
Les séquelles causées par une idéologie politique raciste comme le national-socialisme restent présentes dans la mémoire collective européenne et mondiale.
En acceptant le Rwanda, vous êtes en train de mettre en pratique les options nazies sur la supériorité des races et vous considérez que nous, bantous sommes inferieurs aux tutsis, qui ont eux, le droit de vie et de mort sur nous peuples bantous que vous considerez comme etant des sous-hommes.
Les gorilles des montagnes attirent  votre attention (car cette espèce est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) et son extension est annoncée par la presse occidentale, qui ne fdait aucun cas du genocide congolais.
Dans notre lettre adressée au Secrétaire Général, nous avions clarifié les choses pour ce qui concerne cette « guerre »  qui n’en est pas une, mais une ruée vers le coltan et d’autres matieres strategiques.
Laissez-nous vous donner quelques précisions sur les acteurs impliqués dans des massacres des populations.
Vous le savez aussi bien que nous que les armées régulières du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi agressent continuellement notre pays et ce depuis 1996,  et qui sont devenues pour des « forces négatives » que nous, congolais jurons de combattre  dès qu’un gouvernement responsable sera établi en République Démocratique du Congo.
Vous le savez aussi bien que depuis l’invasion de notre pays par l’AFDL créée  officiellement à Kigali dans le but de chasser du pouvoir le Président Mobutu, les  troupes, l’armement et la logistique étaient fournis par le Rwanda, les militaires de l’APR, de l’Ouganda People’s Defence Force (UPDF) et des Forces armées burundaises (FAB) sont entrés en masse au Zaïre. Au cours de cette conquête fulgurante, les éléments de l’AFDL, de l’APR et des FAB ont attaqué et détruit tous les camps de réfugiés hutus rwandais et burundais installés dans les environs d’Uvira, de Bukavu et de Goma.
Vous savez mieux que nous que dans les années 90, Monsieur CLINTON Bill avait réservé une ligne budgétaire pour armer le Rwanda en vue de réduire la RDC à néant suite à une étude conjointe de la CIA et du Pentagone, intitulée : « No Paper Zaïre », a savoir la disparition du Zaïre sur la carte du monde et l’avènement d’un Etat faible qui fait allégeance au Rwanda : La République Démocratique du Congo.
Depuis l’assassinat de Laurent Désiré Kabila par des tueurs-tutsi rwandais avec la complicité de la MONUC, nous assistons à plusieurs mutations et métamorphoses  des organisations criminelles tutsi : Les créations du RCD/Goma en 1998, celle du CNDP en 2008 suivi de celle du M23 et aujourd’hui de l’ARC ne sont que des subterfuges de Kagamé pour tenter de cacher son jeu néfaste et criminel. Sur ce point-ci, nous tenons encore ici à clarifier les choses :
Les organisations criminelles tutsies telles que l’AFDL, le RCD/Goma, le CNDP, le M23 et aujourd’hui l’ARC ne sont pas des mouvements de rébellion, mais plutôt des bandes de mercenaires et criminels rwandais qui veulent se faire passer pour des Congolais et ne peuvent en aucun cas bénéficier du statut de prisonniers de guerre.
C’est pour cette raison que Kagamé; spécialiste dans l'histoire des conquêtes militaires apprises aux USA a fait transformer le nom du M23 en celui de ARC (Armée Révolutionnaire du Congo).
Cette nouvelle appellation, vous vous en doutez éveille  les curiosités de tous les bons sens au regard de la définition même de l'Armée. C’est encore lui qui avait versé 4 milliards de dollars aux multinationales afin de corrompre  les pays qui ont voté pour l’admission du Rwanda au Conseil de Sécurité.  Nous savons également et ce depuis longtemps que le parrain attitré de la guerre de l'Est n'est autre que l'ancien Président américain Bill Clinton.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Nous, FEMMES CONGOLAISE  DE LA DIASPORA  à mettre en évidence un extrait de l’addendum au rapport intérimaire du Groupe d’Experts(1) sur la RDC (S/2012/348) concernant: Violations par le Gouvernement rwandais de l’embargo sur les armes et du régime de sanction, rapport qui établit formellement la culpabilité et la complicité du Rwanda dans des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide en République Démocratique du Congo.

“F. Officiels rwandais responsables pour le soutien au M23 

“33. Durant toutes ses enquêtes, le Groupe a systématiquement recueilli des témoignages d‟anciens combattants du M23, de collaborateurs du M23, d‟anciens  officiers des FRD, des services de renseignement congolais, des commandants FARDC et des hommes politiques qui affirment l‟implication directe du  gouvernement rwandais à un haut niveau dans l‟appui au M23.
a) Le général Jacques Nziza, le secrétaire permanent du Ministre de la Défense, supervise l‟ensemble de l‟appui militaire, financier, et logistique ainsi que les activités de mobilisation en faveur du M23. Il a été récemment déployé à Ruhengeri et à Gisenyi pour coordonner l‟aide et le recrutement pour le M23.
b) Le général James Kabarebe,  le Ministre de la défense rwandais, avec l‟aide de son secrétaire personnel le  Capitaine Célestin Senkoko, est également une figure centrale pour le recrutement et la mobilisation de soutien politique et militaire au M23. Kabarebe a souvent été en contact direct avec les membres du M23 sur le terrain pour coordonner les activités militaires.
_c) Le général Charles Kayonga, le chef d‟état-major des FRD gère l‟ensemble de l‟aide militaire au M23. Kayonga est régulièrement en communication avec Makenga et a supervisé the transfert des troupes et des armes de Makenga via le Rwanda.
d) Le soutien militaire sur le terrain a été acheminé par le général Emmanuel Ruvusha, le commandant de la division FRD basée à Gisenyi, ainsi que le général Alexi Kagamé, commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à  Runyoni avec les commandants du M23commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à  Runyoni avec les commandants du M23.
e) Le colonel Jomba Gakumba,  un natif du Nord-Kivu, qui fut un instructeur FRD à l‟Académie Militaire rwandaise à Gako, a été redéployé à Ruhengeri depuis la création du M23, où il est chargé de commander les opérations militaires locales en soutien au M23.  
34. D‟anciens officiers RDF, des hommes politiques, des collaborateurs du M23 ont également informé le Groupe que Ntaganda et Makenga ont régulièrement traversé la frontière avec le
Rwanda pour participer à des réunions avec chacun des hauts officiers FRD mentionnés ci-dessus à Kinigi afin de coordonner les opérations et le ravitaillement. Deux nationaux rwandais du M23, qui se sont rendus depuis, ont assisté à de telles réunions entre Makenga et des hauts officiers FRD à Kinigi, à plusieurs reprises. Les mêmes sources ont aussi déclaré que l‟ancien président du CNDP, le général Laurent Nkunda, officiellement en résidence surveillée par le gouvernement rwandais depuis janvier 2009, vient souvent de Kigali pour participer à ces réunions.  

III. Soutien du Rwanda à des groupes armés et des mutineries liées au M23 

35. En plus du soutien des FRD au M23, le Groupe a recueilli des preuves indiquant que les officiels rwandais ont apporté leur soutien à d‟autres groupes armés et à des mutineries, utilisant souvent Ntaganda et d‟autres anciens commandants du CNDP pour encourager de telles alliances.
 Agissant par l‟intermédiaire de ces groupes armés, les officiels rwandais sont arrivés à affaiblir les FDLR à travers une série d‟assassinats ciblés d‟officiers FDLR. Des officiers du M23 et des leaders de groupes armés ont reconnu que ces alliances ont pour objectif commun de déstabiliser le gouvernement central...”
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
La présence du Rwanda à ce siège aura un impact négatif sur les populations congolaises victimes de la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo Le Rwanda sera maintenant en mesure de bloquer les sanctions impliquant les officiels rwandais et d’autres initiatives dans la recherche de la paix dans notre pays.
Nous pensons que ce sera une situation grave qui pourra avoir des conséquences négatives sur la population à l’Est de la RDC.  Le Rwanda n’est pas crédible pour occuper maintenant ce siège à cause des crimes qu’il a commis dans notre pays, et nous estimons que c’est un conflit d’intérêt d’avoir un pays à la table du conseil de sécurité qui a ouvertement violé l’embargo sur les armes imposé par les Nations unies et qui est en train de soutenir une rébellion dans un pays voisin et qui est responsable des crimes de guerre dirigés par Bosco Ntaganda recherché par la CPI.
Le Conseil de sécurité ayant la responsabilité du maintien de la paix et de la sécurité internationale, ses décisions, résolutions ou déclarations  sont en principe contraignantes et doivent recueillir au moins neuf voix sur 15, sans veto. Le Rwanda est un obstacle à la paix en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, NOUS FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, accusons  les gouvernements pays membres permanents du Conseil de sécurité tels que, les Etats Unis, la France et la Grande Bretagne de non assistance du Peuple Congolais en danger de mort permanent de la part du Rwanda et qui le laisse perpétrer le génocide du peuple congolais dont le tort est tout simplement d’être des noirs et d’être nés sur un pays riche que DIEU a juré à nos pères de nous le donner.
Nous accusons les pays membres de l’Union Européenne, dont le Prix Nobel de la paix leur avait été indument décerné,  du fait de leur complaisance  à l’égard du régime de Paul Kagamé dans ses actions criminelles en République Démocratique du Congo.
Nous les accusons également  d’avoir imposé Joseph Kabila, un sujet tutsi-rwandais à la tête de la République Démocratique du Congo en 2006 avec l’aval  George Bush et de Jacques Chirac au moyen d'élections truquées et financées par l’Union Européenne (UE), que la condition exigée à Joseph Kabila pour rester au pouvoir était qu’il se taise sur les incursions rwandaises à l’Est de la RDC et sur les atrocités commises par les hommes de Kagamé.
Nous accusons les anciens dirigeants occidentaux de racistes pour avoir été au service des multinationales qui tuent et massacrent des populations a l’Est de la RDC  tels que  George H.W. Bush a servi comme un conseillé payé de Barrick Gold. Parmi les directeurs de Barrick Gold, se trouvent Brian Mulroney, ancien premier ministre du Canada; Edwards Neys, ancien ambassadeur américain au Canada et PDG de Burston-Marsteller, une compagnie de relations publiques; l’ancien sénateur américain Howard Baker; J. Trevor Eyton, un membre du Sénat Canadien; et Vernon Jordan, l’un des avocats de Bill Clinton.
Nous accusons Mr Bill Clinton et Kagame d’être les instigateurs du génocide congolais à la suite de l’assassinat et du crash de l’avion de l’ancien  Président rwandais Habyarimana, dont ils furent également les auteurs.
Nous accusons ici formellement Tony Blair, le conseiller personnel de Kagamé, c’est lui qui l’encourage tous les jours de poursuivre des activités criminelles en RDC. C’est Tony Blair qui est le commissionnaire attitres de Kagamé dans les ventes des matières premières volées au Congo.
Nous accusons Nicolas  SARKOZY d’encourager le Rwanda et Paul Kagamé de continuer à piller les ressources minières de le la RDC et d’avoir exigé a ce que nous partagions nos richesses avec le Rwanda.
Nous accusons Louis Michel d’avoir truqué des élections en RDC pour lui imposer un sujet tutsi-rwandais afin de pérenniser l’occupation politico- militaire de la RDC. C’est lui qui est l’avocat des criminels rwandais dans toutes les instances internationales.
Nous ne sommes plus dupes car la majorité de l’opinion congolaise et internationale consciente du fait que la guerre au Congo est poussée par le désire d’extraire les matières premières, y compris le diamant, l’or, le colombium tantalite (coltan), le nobium, le cobalt, le cuivre, l’uranium et le pétrole.
Les multinationales occidentales procèdent à l’extraction sans précédente des minerais au Congo, et il est estimé que des tonnes et des tonnes de cobalt d’une valeur de $6 millions par jour rien que le cobalt sort du Congo par jour. Le cobalt est un élément contenant su superalliage, essentiellement nécessaire à l’industrie nucléaire, chimique, l’industrie d’aviation et de défense.
 Nous dénonçons Le Groupe Forrest a une longue histoire d’exploitation au Congo, plus que tous les autres. Ce groupe a acquis ses premières concessions minières au Congo avant la déclaration de l’indépendance du Congo des belges. Le Groupe Forrest qui comprend aussi le Groupe OM basé à Ohio, dispose de plusieurs concessions minières au Katanga. Le Chairman George Forrest, ancien PDG de la compagnie minière de l’Etat Congolais, la Gécamines, est propriétaire de New Lachaussse, une firme qui fabrique les armes.
Nous dénonçons  le groupe Adastra Mining, qui est l’un des partenaires miniers de Barrick Gold. Adastra Mining,  connue sous le nom d’American Mineral Fields (AMFI, AMX, elle a eu d’autres appellations),  basée à Hope, Arkansas, la ville natale de Bill Clinton. Adastra jouit des relations de proximité avec Lazare Kaplan International INC., la plus grande compagnie de courtage diamantifère aux États-Unis, et dont le président n’est autre que Maurice Tempelsman, qui a toujours été un conseiller des Affaires Africaines dans les administrations américaines successives. Il a aussi été le Consul Général Honoraire Américain pour la République Démocratique du Congo
Nous dénonçons les activités de plusieurs compagnies minières multinationales  qui n’ont jamais été, si pas rarement, mentionnées dans un rapport quelconque des organisations des droits de l’homme, entre autre Barrick Gold, qui opère dans la ville de Watsa, au nord-est de la ville de Bunia, localisées dans  des zones où opèrent des bandes armées et qui créent de l’insécurité dans cette partie de la Province Orientale. Ces mines étaient sous le contrôle intermittent des Forces de Défense du Peuple Ougandais (UPDF) pendant la guerre. La multinationale Barrick Gold est arrivé  dans la région sous bonne  escorte des troupes Rwandaises (Front Patriotic Rwandais, FPR) et Ougandaises (UPDF), pour exploiter et piller les mines d’or.
Nous dénonçons aussi les activités de Anglo-Ashanti appartenant a Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies qui travaille en partenariat avec Anglo-American, une propriété de la famille Oppenheimer qui en son tour est en partenariat avec Barrick Gold, basée au Canada. L’Anglo-American PLC, basée à Londres détient 45% des actions dans DeBeers, qui contrôle le quasi-monopole. Il nous apparait aujourd’hui clair que cet homme est également comptable de crimes commis en RDC et que c’est lui, aux travers de la MONUC, qui avait mis en place des structures de pillages de nos matières premières qui sont négociées a Kigali, Entebbe, Kampala et Bujumbura.
Nous regrettons amèrement que les autres membres des Nations Unies se soient laissés manipuler par les mensonges de ce pays criminel et nous les prions de revenir sur leur vote car à l’allure où vont les choses, une grande majorité des Etats Membres ne font plus confiance aux Nations Unies et pensent sérieusement de mettre en place la construction d’une autre organisation plus crédible dont la base est l’Organisation des pays non-alignés.
Nous souhaiterions que notre pays en fasse partie des lors qu’il sera établi un gouvernement responsable en République.
Aux femmes et aux hommes politiques congolais la Patrie est en danger, nous vous disons de prendre vos responsabilités, car notre pays est en voie d’être balkanisé.
Le député Jose Makila a pris son courage en main pour dénoncer la forfaiture du gouvernement mis en place par les multinationales et les grandes puissances occidentales, vous avez le devoir de réagir et de défendre l’intégrité de notre pays en résistant contre les voyous et les criminels tutsi-rwandais. Car on a installe peu a peu la politique de l’apartheid au Kongo.
Aux medias et aux organisations de défense des droits de l’homme, nous vous remercions par l’avance de diffuser de part le monde ces cris de détresse de Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, mise a part DIEU qui est notre SEUL GARANT et AVOCAT nous vous saurions gré de bien vouloir être les défenseurs de notre noble cause.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Avant de conclure notre lettre, nous tenions à vous rappeler que notre pays est victime des agressions venues spécialement du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi et que la Résolution 3314 de l’Assemblée générale de l’ONU.
En date du 14 décembre 1974, déclare officiellement qu’une guerre d’agression est un crime contre la paix internationale. Elle définit l’agression comme « l’emploi de la force armée par un État contre la souveraineté, l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique d’un autre État », reprenant ainsi la formule du principe de l’interdiction de la force dans les relations internationales, tel qu’on le trouve codifié à l’article 2, paragraphe 4 , de la Charte de l’ONU: Les membres de l’Organisation s’abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l’emploi de la force, soit contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts et principes des Nations Unies ».
Compte tenu de ce qui précède, nous vous prions de bien vouloir transmettre des copies de cette lettre aux représentants de tous les membres de l’Organisation des Nations Unies afin qu’ils se rappellent des principes et des objectifs visés par les Etats Membres étaient de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Nous ne pensons pas que le Rwanda souscrit aux dispositions de l’article Ier de la Charte du fait des crimes abominables qu’il commet tous les jours sur le territoire congolais.
Par conséquent, son admission au Conseil de Sécurité est une abomination eu égard à la morale politique qui sied aux nations modernes et nous ne comprenons pas pourquoi l’occident qui a fondé sa civilisation sur la distinction du BIEN et du MAL puisse à ce point se démarquer de ses propres valeurs et qu’il puisse ainsi faire l’apologie du mal en soutenant un pays comme le Rwanda.
DIEU SEUL nous rendra JUSTICE
Fait à Londres, le 24 Octobre 2012.
Pour les FEMMES CONGOLAISES DE LA DISPORA,
Marie-Christine BALANGA

Transmis copie pour information aux:

- Aux Gouvernements des pays membres Permanents  du Conseil de Sécurité
- Au Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique
- Au Gouvernement de la Fédération de Russie
- Au Gouvernement de la République Populaire de Chine
- Au Gouvernement de  Sa Gracieuse Majesté Britannique
- Au Gouvernement de la République Française  (TOUS A NEW-YORK)
- A Sa Sainteté le Pape BENOIT XVI

Au VATICAN

- Aux Chefs de Confessions Religieuse de Eglises Congo et du Monde entier

A tous les Etats Membres des Nations Unies (TOUS A NEW-YORK)

- A tous les Etats Membres de l’Union Européenne (TOUS A BRUXELLES)
- A Monsieur le Secrétaire General des Nations Unies (A NEW YORK)
- A toutes les Sociétés Multinationales spoliant les richesses de la RDC
- Aux femmes et aux hommes politiques congolais
- Aux journalistes de la Presse internationales et nationales congolaise
- Aux Organisations Internationales et nationales  de défense des droits de l’homme

Message de l'ex-Président LULA à ses homologues Africains.


Message de l'ex-président Lula à ses homologues Africains : Cessez de baisser votre pantalon devant les occidentaux.
L'EX PRESIDENT BRESILIEN LULA HUMILIE LES PRESIDENTS AFRICAINS AU SOMMET DE L'UNION AFRICAINE


Suivant l'exemple de l'amerique Latine , l'Afrique devrait decider de prendre sa vrai independance qui est aux mains des occidentaux , Le continent Africain qui est riche de gisement mineral et de terre fertile , aurait en effet toutes le potentialités pour devenir le première puissance economique planetaire , mais elle est encore opprimée sous la coupole coloniale des grandes puissances de la terre. ce sont les parole de l'ex -president bresilien LULA DA SILVA ,qui etait la semaine dernière en Guinée equatoriale pour la reunion des chef d'etats Africains .
Lula a invité les chef d'etat à ouvrir les yeux sur ce qui se passe en Afrique ces derniers mois , en libye et en cote d'ivoire : l'interference de la France et des etats unis constitue un sérieux danger pour la souveraineté Africaine et pour les futures générations.
durant l'assemblée generale sur le role des jeunes africains, une session detachées de la reunion avec theme la crise libyenne, Lula a accusé les chefs Africains d'ètre avides , d'assoifés de pouvoir , de trahir leurs propres pays et surtout d'ètre des servants de l'occident ! qui saccagent le continent noir et déciment sa souveraineté. La devise de ces chefs d'etats étant : "chacun pour soi , Dieu pour tous" ne portera loin l'Afrique,Il faut le sens de responsabilité, d'humilité,de dignité et d'Unité pour bien gouverner ! critiquant le fait que les leaders africains qui sont arrivés au pouvoir par un coup d'état ou pour le vouloir des puissances occidentales .Il a ensuite critiqué et denoncé le monopole des 5 pays du monde. ajoutant que: L'UNION AFRICAINE a 1,4 milliard d'habitants, l'AMERIQUE LATINE 400 000 d'habitants et que c'est inconcevable que les USA, LA FRANCE,LA CHINE,LA RUSSIE ET LA GRANDE BRETAGNE dictent la loi au conseil de securité de l'ONU !!!! surtout que la crise ecomìnomique mondiale provient des etats unis .
et il a deploré le fait que l'UNION AFRICAINE soit financé seulement par 5 pays africains et le reste par des dons occidentaux.Par consequent, Pour cela , L'UA ne peut pas faire les interéts de l'Afrique et avoir un poids au niveau international . C'est cette mème U.A qui legitime les coups d'ètats,les rebellions ou actions illegales pour l'obtention du pouvoir en Afrique, ignorant la volonté du peuple et la finalité des élections .Beaucoup de chefs d'etats presents avaient la tète basse à qui il a réitéré l'invasion Francaise dans le continent noir ! LA FRANCE nourrit et arme les rebelles dans les pays qui ont cessé d'ètre leurs colonies . avec des interferences dans les affaires internes des pays africains ! c'est clair la reference avec le cas de la Cote d'Ivoire, où Paris avec l'utilisation de la force a enlevé le president GBAGBO pour mettre à son poste ouattara.
Si pour la Cote d'Ivoire ,rien a été fait pour arréter le coup d'état ,l'union Africaine peut demander le cessez le feu immediat en LIbye. en soutien s'est ajouté le president Jacob zuma, un des chefs opposants qui tient tète à l'occident disant qu'ils n'ont pas le droit d'assassiner KADAFI.

Un silence d'ombre dans la salle de l'UA où les présidents qui sont les talons de l'occident étaient nombreux en occurence ABDOULAYE WADE du Senegal qui a sejourné à Benghasi pour reconnaitre le gouvernement des rebelles , BLAISE COMPAORE du Burkina Faso qui ha soutenu la rebellion de OUATTARA en Coted'Ivoire contre GBAGBO, YOWERI MUSEVENI de l'Uganda qui combat les AL Shabaab en Somalie , PAUL KAGAME du Rwanda qui saccage pour le compte de l'occident et puis SASSOU N'GUESSO du Congo Brazzaville , IDRISS DEBY du TCHAD,PAUL BIYA du Cameroun, FAURE GNASSINGBE du togo,ODINBA ALI BONGO du Gabon et le dernier récruté qui s'est ajouté à la dependance des des puissances de l'oppression est ALLASSANE OUATTARA de la cote d'ivoire !

TEXTE EN ITALIEN ENTIEREMENT TRADUIT EN FRANCAIS PAR KOUAME CELESTIN N'BRAH
LE LIEN D'UN JOURNAL OFFICIEL ITALIEN :WWW.rinascita.eu
by Lendo Kumbu
WWW.rinascita.eu
La nostra battaglia per un’informazione non omologata ai poteri oscuri che dettano legge nei quattro angoli di questo pianeta sempre più vessato e dominato dai Signori del denaro, si fa di giorno in giorno più

Quand le Congo s'éveillera.


Voici comment des étrangers et des Congolais pillent et ruinent le Congo

Quand le Congo et les Congolais s'éveilleront, ils demanderont des comptes. Alors nous les informons. Et voici ce qui a été lu sur "Debout Congolais".

"EVEIL PATRIOTIQUE DU PEUPLE CONGOLAIS"

JEAN-CLAUDE MASANGU MULONGO N’EST QU’UN TRAITRE, UN COLLABO AU SERVICE DE L’IMPOSTEUR KABANGE KANANBE MUTUALE ALIAS JOSEPH KABILA QUE LES CONGOLAIS DOIVENT CAPTURER MORT OU VIF. VOUS LE COMPRENDREZ EN LISANT ATTENTIVEMENT CETTE ENQUETE SUR LA LIQUIDATION FORCEE DE LA BANQUE CONGOLAISE.

USD. 195.000.000  ont été dilapidés à la Banque Congolaise avec la complicité de la Banque Centrale du Congo (BCC). Au premier trimestre 2011, la BCC a réalisé un déficit de franc congolais 75.000.000.000 soit dollars américains 81.521.739. A ce sujet, une enquête parlementaire avait été initiée. Selon certaines indiscrétions, le Conseiller Spécial du chef de l’Etat, Monsieur Pierre Lumbi aurai bénéficié des largesses de l’ordre de dollars américains 5.000.000 de Roger Alfred Yaghi, pour empêcher l’aboutissement de cette enquête… Dans cette hypothèse, la « tolérance zéro » ne serait qu’une poudre aux yeux des congolais !

Jean - Claude MASANGU MULONGO, l’actuel Gouverneur de la BCC, Herman Cohen de Swift International (société américaine) et Natacha MUAMBA ZABIBU (actionnaire « sur papier », cousine de Jean-Claude MASANGU MULONGO et secrétaire de Roger Yaghi) sont impliqués dans le blanchiment d’argent en RDC en complicité avec leur « associé Kamikaze », monsieur Roger Yaghi, sujet libanais « récidiviste » car expulsé n° 33 - visa d’entrée du 13 août 1994 – n° 000743 du décret n° 0004 du 22 février 1995 de monsieur KENGO wa DONDO Léon (alors premier Ministre sous le régime du dictateur MOBUTU) portant expulsion des personnes étrangères dont la présence et la conduite ont compromis et continuent à compromettre l’ordre public congolais, spécialement en matière économique, financière et monétaire.

QUI EST MONSIEUR ROGER ALFRED YAGHI EN SIGLE « RAY »?

Il est l’aîné d’une famille de cinq enfants portant (tous) les initiales (RAY), en occurrence :
-       Roger Alfred Yaghi (RAY)
-       Roland Alfred Yaghi (RAY)
-       Roméo Alfred Yaghi (RAY)
-       Robin Alfred Yaghi (RAY)
-       Robine Alfred Yaghi (RAY)
Et ceci a donné le nom au « RAY GROUP » qui a des tentacules jusqu’en Afrique du Sud. En RDC, ce groupe possède plusieurs sociétés telles que : SGI, SAFRIMEX, DELTA PROTECTION, ITB, TRANSAL…
 
Durant la 2ème République, il a été poursuivi pour le « DETOURNEMENT » des deniers publics. Lorsque Christophe BEYEYE DJEMA fût DG de la DGDA (ex OFIDA), Roger Alfred Yaghi a eu à gérer les « QUITTANCES SPECIALES » (QS) de la DGDA (ex. OFIDA), en faisant circuler plusieurs numéros de celles-ci à plusieurs endroits à la fois, une des raisons pour laquelle il fût « EXPLUSE » (Cfr. Le décret n°0004 du 22 février 1995 portant expulsion des personnes étrangères) de la République du Zaïre lors du dernier mandat de KENGO wa DONDO Léon à la primature. Ce décret d’expulsion, jusqu’à ce jour, n’a jamais été abrogé.

Toujours lors de la 2ème République, il avait créé une société de télécommunication du nom d’ATN (AFRICAN TELECOMMUNICATION NETWORK) qui a eu à gérer pendant un temps les communications de la Présidence de la République sous MOBUTU. Ayant résidé clandestinement au pays après son expulsion, il fuya, à la mort du Général MAHELE, son « PROTECTEUR », vers le Liban via Brazzaville.

Roger Alfred Yaghi a attaqué la République pour sa créance d’ATN au PGR. Quand M’zee Laurent Désiré KABILA l’avait appris, il avait instruit le PGR pour le non « PAIEMENT » de cette créance ; Une perquisition avait même été opérée à sa résidence sise 44, avenue Kalemie, dans la commune de la Gombe ou sous la supervision de feu Damien NDEBO, ancien IGA de la Police Judicaire des parquets et plusieurs machines et des billets de « FAUX DOLLARS » auraient été saisis.

Ce monsieur, « protégé de l’actuel pouvoir et de l’entourage de Joseph KABILA » étant rentré clandestinement dans son Liban natal, est revenu au pays une semaine après la mort de M’zee Laurent Désiré KABILA. Et à peine rentré, il a pu faire aboutir son action contre la BIAC en obtenant un « jugement » intimant la République de payer la créance ATN qui avait cédé sa créance à la société « TRANSAL » qui lui appartient. Et c’est cette somme d’argent payée par la BIAC qui aurait servi à créer : 
  
I.              LE BUREAU DE CHANGE « CONGO EXCHANGE »
C’est un bureau de change placé sous la responsabilité de Monsieur Ambroise TSHIYOYO qui en réalité appartient à Monsieur Roger Yaghi, Monsieur Ambroise TSHIYOYO n’est que le beau-frère de Roger Yhagi et frère aîné de son épouse, Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA.
Du mois d’août 2001 à août 2003, en quête de devises, pour le financement du programme de reconstruction du pays, la BCC a été amenée, à la demande du gouvernement à recourir auprès des bureaux de change. Dans ce cadre, la BCC, avait débloqué et mis à al disposition des bureaux de change, le montant de CDF. 23.000.000.000 réparti comme suit :

-          CONGO EXCHANGE                  CDF. 14.812.433.000
-          TOP FLOUZ                                 CDF. 3.964.400.000
-          SOFICOM                                     CDF. 3.102.550.000
-          ZECOPAL                                     CDF. 1.430.785.000
-          HASSAN IBRAHIM                       CDF. 520.809.000
-          LUFAU KIMWISI                           CDF. 495.800.000
-          GENERAL EXCHANGE               CDF. 312.000.000
-          MASTER CHANGE                       CDF. 283.113.500
Il importe de signaler ici que la contrepartie en devises du montant mis à la disposition de « CONGO EXCHANGE » n’est retracable nulle part dans les livres de la BCC. A quoi a servi cet argent ? Quelle en est sa destination, Qui en est le bénéficiaire ?
II.            BANQUE CONGOLAISE (actuellement en liquidation forcée)
 
L’actionnariat de la Banque Congolaise se présente comme suit :
 
° Swift Developments Int LLC                        39, 2% 3.539.777 actions USD. 17.698.885
° Mme Florentine KALUBI TSHIMANGA        36,1%  3.252.777 actions USD. 16.263.885
° M. Umeldadi Roshanali Dhrolia                    13,9% 1.252.778 actions USD.   6.263.890
° Etat congolais                                               10,0%   900.000  actions USD.   4.500.000
° M. Mahfooz Salem Bin Mahfooz                     0,3%      27.355 actions USD.      136.665
° M. Daoud Mourad                                           0,1%       5.467  actions USD.        27.335
° M. Abul IIah Nasser                                         0,1%       5.467 actions USD.        27.335
° M. Mahmoud Mattar                                        0,1%       5.467 actions USD.        27.335
° Ghandour Industrir Congo sprl                         0,1%      5.467 actions USD.        27.335
° M. Mbonga Bolo Trandogbia                             0,1%      5.467 actions USD.       27.467
 
TOTAL                                                                        9.000.000 actions USD. 45.000.000
 
 Observations
·         La société Swift International, détentrice de 39% du capital, est une société américaine au capital de USD. 100, détenue à 92% par Monsieur Roger Yaghi qui en a confié la gestion à Monsieur Herman Cohen. Les 8% sont détenus par Madame Natacha MUAMBA  ZABIBU, cousine de Jean-Claude MASANGU MULONGO (Gouverneur en fonction de la BCC) et secrétaire de Monsieur Roger Yaghi.
·         Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA, détentrice de 36% du capital, est l’épouse de Monsieur Roger Yaghi, le PCA du Conseil d’Administration de la Banque Congolaise.
 
III.           LA FICTION DE L’AUGMENTATION DU CAPITAL INTERVENUE EN 2010 AVEC LA COMPLICITE DE LA BCC
 
Suivant le PV de l’assemblée générale du 10 mai 2010, La Banque Congolaise a procédé à l’augmentation du capital de USD. 20.000.000, le portant de USD. 25.000.000 à USD. 45.000.000. Selon ce PV, l’apport de USD. 20.000.000 a été effectué par la conversion du prêt subordonné en  apport en capital ! Après vérification, il se dégage que le prêt subordonné en apport en capital « n’a jamais existé ». La libération du capital pour le compte des souscripteurs, la société Swift International (USD. 10.000.000) et Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA (USD. 10.000.000) a été faite à partir de plusieurs virements provenant du compte « HEREDIUM » qui est en fait une société de gestion immobilière dont les actionnaires sont Monsieur Roger Yaghi, le PCA de la Banque Congolaise, son épouse (Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA) également actionnaire et leur fils.
Cette supercherie réalisé par la Banque Congolaise avec le concours du cabinet DELOITTE&TOUCHE Congo sprl a permis à Monsieur Roger Yaghi de simuler les apports des actionnaires par des « FAUSSES ECRITURES COMPTABLES » qui consistaient notamment à transformer les dépôts en apport en capital et cela à partir des virements de certains comptes en divises à soldes débiteurs.
L’augmentation du capital de USD. 20.000.000 résulte des versements d’espèces de USD. 1.200.000 de HEREDIUM pour le compte de l’actionnaire Florentine KALUBI TSHIMANGA et de USD. 18.800.000 de virement de compte à compte dont USD. 8.800.000 pour Florentine KALUBI TSHIMANGA et USD. 10.000.000 pour Swift Developments.
En réalité, le capital n’a été augmenté que de USD. 1.200.000 et non de USD. 20.000.000. L’actionnariat de la Banque Congolaise pose problème ainsi que son augmentation du capital. Les actionnaires dont l’Etat n’ont « jamais souscrit et libéré » formellement dans les livres des actionnaires excepté Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA et Monsieur Umedali.
 
IV.          LES IRREGULARITES « FLAGRANTES » CI-APRES ONT ETE CONSTATEES AU 31 DECEMBRE 2010 PAR LE CABINET D’AUDIT KPMS
 
-          Des charges d’intérêts de CDF. 10.736.000.000 sur les concours reçus de la BCC, ont été sous-évalués ;
-          Des facilités permanentes de CDF. 403.000.000 dont a bénéficié la Banque Congolaise n’ont pas été comptabilisées ;
-          Des intérêts de CDF. 302.000.000 sur call money ont été surestimés ;
-          Des avances faites par la BCC en paiement des tiers pour le compte de la Banque Congolaise n’ont pas été comptabilisées pour CDF. 7.868.000.000 (GAVI pour USD. 8.543.227 – Gouvernorat province Oriental pour CDF. 57.000.000 – MONUSCO pour USD. 62.000) ;
-          Des opérations de change de CDF. 365.000.000 avec la BCC n’ont pas été comptabilisées ;
-          Des dons et libéralités de CDF. 1.475.766.000, soit USD. 1.500.000 ont été accordés sur les dépôts des clients par Roger Yaghi (selon certaines indiscrétions des agents « mécontents » de cette banque en faillite programmée, les Directeurs et fonctionnaires de la BCC en sont les bénéficiaires…) ;
-          Des crédites de CDF. 4.884.613.960, soit USD. 5.309.363 ont été accordé sans dossiers ni garanties. Au 31 décembre 2010, ces autorités politico-administratives étaient insolvables. Il s’agit de :
1.    KABILA Jaynet, présidente de la fondation Mzee Laurent Désiré Kabila (sœur jumelle du Président de la République) ;
2.    TSHIBANDA N’TUNGA MULOMBO Raymond, ancien ministre et acteur politique de l’opposition ;
3.    KANDE MUPOMPA Alex, ancien directeur de cabinet du ministre de budget du gouvernement 1+4, Muamba Tshishimbi François ; 
4.    MABI MULUMBA Evariste, ancien premier ministre ;
5.    KAMANDA wa KAMANDA Gérard, Acteur politique
6.    MUTINGA Modeste, propriétaire du journal « le potentiel » MATENDA KYELU Athanase, Ministre des Finances honoraire ;
7.    KIN KEY MULUMBA Tryphon, propriétaire du journal « le soft international »,
8.    GHONDA MANGALIBI Antoine
9.     BEMBE SAOLONA Jeannot, (+)
10. MUAMBA TSHITSHIMBI François
11.  BEYA KASONGA François, DG/DGM 
-          Des transferts ordonnées et exécutés par la Banque Congolaise n’ont pas été enregistrés par sa propre comptabilité (CITIBANK LONDON CDF. 147.000.000 – CITIBANK NEW YORK CDF. 29.000.000 – BANK OF BEIRUT CDF. 108.000.000) ;
-          Des transferts reçus des correspondants n’ont pas été enregistrés par la comptabilité de la Banque Congolaise (CITIBANK CDF. 75.000.000 – BANK OF BEIRUT CDF. 16.000.000 – KBC BRUXELLES CDF. 109.000.000) ;
-          Des intérêts et des frais aux correspondants n’ont pas été comptabilisés pour CDF. 143.000.000 à la LIBANESE CANADIAN BANK (LCB) ;
-          Des transferts des clients de CDF. 1.326.000.000 non exécutés par la Banque Congolaise.
 
De ce qui précède, monsieur Roger Alfred Yaghi est très influent  dans tous les milieux. Il a dans sa poche plusieurs hommes politiques tant de l’opposition que de la majorité présidentielle (MP) qui ont souvent bénéficié de ses largesses financières :
 
01. MUAMBA TSHITSHIMBI François                         USD. 1.536.736,41
02.  TSHIBANDA N’TUNGA MULONGO Raymond     EUR. 25.002,59
                                                                                USD. 829.993,78
                                                                                USD. 107.712
 
03.  KAMANDA wa KAMANDA Gérard                        USD. 703.123,16
04. PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE                    USD. 464.151,08
05.  MATENDA KYELU Athanase                                USD. 453.174,68
06. MUTINGA Modeste                                                USD. 338.303,8
07. KIN KIEY MULUMBA Tryphon                               USD. 269.078,88
08. BEMBE SAOLONA Jeannot                                   USD. 231.506,6
09. BEYA MASANGA                                                   USD. 127.228,41                                           
10. BEYA KASONGA                                                   USD. 123.972,68
11. GHONDA MANGALIBI Antoine                              USD.81.094
12. MABI MULUMBA Evariste                                      USD. 4.364,53
13. KANDE MUPOMPA Alex                                        EUR.3.173
 
Ces messieurs qui ont  profité de ces largesses se retrouvent dans le  Gouvernement, au Parlement, au Sénat, dans la Police, dans l’Armée, dans les Services de sécurité, à la Présidence de la République, à la Banque Centrale du Congo parmi lesquels Willy MUDIAYI MPINGA, Jean Marcel KALUBI KAYEMBE, Louis N’SA ELONGO, Déogracias MUTOMBO MWANA NYEMBO, Willy KALOMBO NSENDA, MUPEPE LEBO et autres cadres de la Direction de la Surveillance des Intermédiaires Financiers « DSF » bénéficiaires des « dons et libéralités » de FC. 1.475.766.000, soit USD. 1.500.000 au taux de 1 USD à 920 FC pour leurs prestations extra horaires « pots-de-vin » qui représentent 95% des « Charges hors exploitation » hormis les manquants de caisse de FC. 22.335.000 et les autres charges de FC. 54.555.000 sur un total de FC. 1.554.656.000 au 31 décembre 2010.
Ces libéralités ont été octroyées sur les dépôts des clients et « camouflés » dans les états financiers comme étant des « charges hors exploitation » et surtout dans la magistrature que monsieur  Roger Alfred Yaghi  a beaucoup de complices dont l’actuel PGR, Flory KABANGE NUMBI. C’est de cette façon qu’il a pu faire « élire » un de ses avocats, Me TSHIBANGU KALALA comme « Député National ». Sans oublier aussi que l’ancien Président de l’Assemblée National, Evariste BOSHAB, fût un de ses « avocats ». A cause de cette « influence », il avait « promis » et « obtenu » de faire « révoquer » l’Avocat Général (AG) KANIKA pour avoir « instruit » et « enquêté » sur la Banque Congolaise à ses débuts ; cette action avait abouti à la liquidation de cette banque qui a repris ses activités à la démission du ministre des Finances Freddy MATUNGULU.

Dans son palmarès en RDC, monsieur Roger Alfred Yaghi était à la base des « OPERATIONS CHEQUES CONTRE ESPECES » qui étaient à la base des pillages en 1992.
Avec la Banque Congolaise, ce dernier a racheté certaines dettes publiques pour lesquelles la BCC a déjà payé le principal et les pénalités de retard supposés.
C’est une créance (négocié par Me BOKATA KUNDAKA) d’USD 37.851.032 réparti comme suit :
01. SOCIETE CELYEL (ex STARCEL)              USD.18.556.361
02. SOCIETE OFFIZAIRE                                  USD.7.704.761
03. SUCCESSION LENGELO                            USD 5.000.000
04. SOCIETE FAXIM                                          USD. 6.600.000
 
-          En dépit des termes trop généraux et captivants du « PROTOCOLE D’ACCORD » entre l’Etat congolais et la Banque Congolaise, il n’est pas à perdre de vue que cette banque s’est en réalité porté fort pour recouvrer les créances des tiers, dont le collectif de quatre (4) créanciers et de les payer consécutivement et qu’en rémunération de ce service, pouvoir gagner 15% et éventuellement 18% de pénalités en cas de retard dans le paiement. 
 
-          A ce jour La Banque Congolaise n’a pas honoré ses engagements alors que ces montants sont destinés à ces entreprises telles STARCEL, en faillite dont les ex. Travailleurs sont les principales victimes.
 
On a laissé entendre au sein de l’USAID, que le Gouverneur la Banque Centrale du Congo (BCC), monsieur Jean-Claude MASANGU MULONGO, serait actionnaire à travers sa cousine Madame Natacha MUAMBA ZABIBU (actionnaire sur papier et secrétaire de Roger Alfred Yaghi) dans les capitaux productifs de la Banque Congolaise (BC). Ce dernier était bel et bien au courant de ces opérations en réalisation sur base des masses d’argent à origine floue. C’est ici qu’il a été remarqué la part active réalisé par le gouvernement de la RDC dans ces opérations de blanchiment d’argent.

De tout ce qui précède, nous déclarons clairement que Jean-Claude MASANGU MULONGO, actuel Gouverneur de la Banque Centrale du Congo est impliqué dans l’affaire du Libanais chrétien Alfred Roger Yaghi autour de la faillite jugée frauduleuse de la Banque Congolaise (BC, ex.UBC, ex UZB) portant sur la disparition de USD. 300.000.000 du trésor interne.
Des analyses faites sur cette situation respectivement dans les secteurs de travail spécialisées à Kinshasa jugent cette « FAILLITE BRUTALE » de la Banque Congolaise (BC) comme un phénomène normal et propre au processus en fin d’accomplissement des actes de « BLANCHIMENT » de l’argent sale.