historique

Historique

Le PSPCongo a été constitué le 30 juin 1998 par des socialistes congolais qui ne se reconnaissaient dans aucune formation politique congolaise déjà existante. Le PSPCongo a été régulièrement reconnu et recensé par le ministère de l'intérieur de la République Démocratique du Congo en 2001, sous la référence : 25/cab/mini/inter/2282/2001.

Le PSPCongo n'est ni un nouveau parti ni un parti nouveau. C'est un parti historique qui doit son origine aux luttes menées tout au long de l'Histoire par la catégorie de la société toujours exclue de la modernité, du développement économique, social ou juridique. C'est la lutte de tous ceux qui veulent avoir leur place au sein de la société nationale, de ceux qui veulent que la dignité de tout individu soit reconnue.

C'est la lutte permanente de ceux qui veulent apporter leur contribution à la construction du pays et au développement de la société nationale. Cette revendication fondamentale, le PSP en fait sa base principale d'action. Le PSP s'inscrit donc dans le socialisme démocratique tel que défini par l'Histoire : démocratie politique, démocratie économique, démocratie sociale et solidarité.

Le PSPCongo n'est pas et ne sera jamais la propriété privée d'un individu ou d'un groupe d'individus. Il est dirigé par des responsables socialistes désignés par le vote démocratique des militants à tous les échelons.


*** Ici, le Parti Socialiste Progressiste : nous oeuvrons pour la Paix, la Justice, la Solidarité et la Responsabilité ***
*** Ils ont rêvé, ils ont cru, mais ils n'ont pas abouti... parce qu'ils ne se sont pas entendus ! ***

La Justice espagnole et le génocide ruandais

Mercredi 06 février 2008 AFP

L'Audience nationale, principale instance pénale espagnole, va poursuivre 40 militaires rwandais pour "génocide, crime contre l'humanité et terrorisme", pour des faits commis dans les années 90 au Rwanda, selon un communiqué de l'Audience nationale.
"Il existe des indices rationnels et étayés selon lesquels les plus hauts responsables de l'organisation politico-militaire APR/FPR (Armée/Front patriotique rwandais), parmi lesquels se trouvent les personnes poursuivies, ont déployé tout un éventail d'activités criminelles", selon l'acte résumant la décision de l'Audience nationale.
Ces responsables ont "pris le pouvoir par la force (...) prenant le contrôle absolu de la structure de l'Etat et mettant en place à partir de ce moment-là un authentique régime de terreur", explique le texte.
"L'actuel président du Rwanda, Paul Kagame, n'a pas été poursuivi en tant que chef d'Etat détenant une immunité", précise l'Audience nationale.
Les poursuites contre les 40 militaires s'accompagnent de mandats d'arrêt, a-t-on appris de source judiciaire.
Le génocide de 1994 avait fait selon l'ONU environ 800.000 morts parmi la minorité tutsie et les Hutus modérés. La prise de pouvoir à Kigali de l'APR, dirigée par Paul Kagame, avait mis fin au génocide.
L'Audience nationale reproche notamment aux 40 militaires des faits postérieurs au génocide. Ils sont poursuivis pour avoir "commis des crimes contre la population civile, nationale et étrangère, sélectionnée pour des raisons ethniques et/ou politique (...) sous prétexte d'assurer la sécurité".
La justice espagnole avait ouvert cette enquête en 2005 sur la mort de neuf espagnols assassinés au Rwanda entre 1994 et 2000, à la suite d'une plainte du Forum international pour la vérité et la justice dans l'Afrique des Grands Lacs.

Le PSP Congo et les partis politiques en RDC

Il y a en ce jour plus de 400 partis politiques en RDC dont un peu plus de 173 reconnus et recensés par le Ministère Intérieur du Congo. Il y a donc  une pléthore phénoménale.

Faut-il se réjouir ou se plaindre de cette situation inédite ? L’un et l’autre sans doute.

Ces partis politiques sont nés de l’IIIème Constitution qui met fin au système du parti unique de la période mobutiste en consacrant en même temps le principe du pluralisme politique. Ainsi les congolais se sont-ils sentis libérés de l’esclavage politique dans lequel ils étaient contenus et enfermés. !!! Ils sont libres, nous sommes libres de nous exprimer politiquement. Alors on parle, on discute, on crée des partis politiques à tout va. Pour nous la pléthore des partis politiques au Congo est un symbole fort de la LIBERTE.

Mais ensuite il faut se poser des questions sur la finalité d’un parti politique dans un pays. Cette question s’adresse cette fois non à l’Etat (à ne pas confondre avec un gouvernement), mais aux hommes et femmes politiques, aux RESPONSABLES  POLITIQUES.

Le but d’un parti politique c’est la conquête du pouvoir et la gestion du pays par un gouvernement solidaire et responsable. Rappelons que tous les gouvernements n’ont pas la même vision de la société et par conséquent la même gestion du pays. En gros, pour schématiser, on parle d’une gestion ou vision de gauche ou de droite. Et elle doit être clairement annoncée, exposée à la population (aux citoyens qui doivent voter en connaissance des causes).

Honnêtement, quel est le parti politique (parmi les 400) qui peut prétendre  gagner les élections et conquérir le pouvoir tout seul ? Comment l’Etat congolais peut-il subventionner 400 partis ? (c’est inscrit dans la Constitution). Il y a là un problème dramatique pour le peuple congolais. En effet le maintient de cette pléthore de partis est synonyme de division (extrême) des congolais, terreau favorable à l’infiltration des étrangers et la balkanisation du Congo, que tous nous redoutons et déplorons.

Alors le PARTI SOCIALISTE PROGRESSISTE du Congo en appelle au  bon sens du citoyen et de la RESPONSABILITE.  Si La IIIème Constitution nous a libérés, soyons responsables et libérons notre peuple. Unissons-nous par vision politique et rassemblons-nous pour les  intérêts de notre peuple surtout en ce moment. Préparons les élections prochaines pour récupérer notre pays.

« Ba vote tango ekomaka, ngai nakomi motu pona bango » (F. Boukaka)

Au moment des élections ou encore en période des votes, je deviens quelqu’un d’intéressant pour eux. Moi c’est le citoyen lambda, le peuple d’en bas, comme dirait l’autre. Et eux, ce sont ces soi disant politiciens qui veulent se faire élire.

On les voit en effet déferler, s’exhiber, bruiter à tout vent dans des grandes villes avec comme programme politique la distribution des billets de banque et autres largesses, sans que personne ne lève son petit doigt pour dénoncer cet achat des consciences, cette corruption des citoyens dans un pays qui se dit République.

Rappelons tout de suite qu’une République repose sur 3 piliers qui sont :

1. La démocratie, c'est-à-dire la désignation des élus par un vote du peuple (des citoyens) ;

2. La liberté de choisir son élu en son âme et conscience (sans se laisser corrompre, ni conditionné, ni contraint).

3. La laïcité (notre pays est une République…. sociale et laïque, selon notre Constitution). Cela signifie que tout en admettant l’existence de toute religion normalement reconnue et officiellement recensée par l’Etat, aucune ne peut concevoir et dicter la politique du pays.


Le PSP estime que ce comportement est non seulement un déni de la République, mais un délit parce que, visiblement, il y a là une vulgarisation de la corruption qui se renforce d’ailleurs une fois élu et au pouvoir. De plus on infantilise notre peuple démuni et dans le besoin.

En conséquence nous demandons l’interdiction de ces pratiques et la poursuite en justice de ses auteurs. Les propositions politiques (programmes de gouvernement) doivent prévaloir plutôt que des considérations financières.


PSPCONGO FACE AUX ELECTIONS PROCHAINES

Le PSPCongo (Parti Socialiste Progressiste du Congo) estime que pour affronter les élections prochaines, l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) doit pouvoir rassembler tous les partis de gauche et d'autres partis réellement congolais pour récupérer notre pays occupé par des étrangers et sous tutelle de l'ONU.
Le PSPCongo se tient prêt à cette démarche et à collaborer avec l'UDPS pour mettre en place une véritable politique en faveur des Congolais et du Congo si l'UDPS accepte et agit concrètement.