Voici comment des étrangers et des Congolais pillent et ruinent le Congo
Quand le Congo et les Congolais s'éveilleront, ils demanderont des comptes. Alors nous les informons. Et voici ce qui a été lu sur "Debout Congolais".
"EVEIL PATRIOTIQUE DU PEUPLE CONGOLAIS"
JEAN-CLAUDE MASANGU MULONGO N’EST QU’UN TRAITRE, UN
COLLABO AU SERVICE DE L’IMPOSTEUR KABANGE KANANBE MUTUALE ALIAS JOSEPH KABILA
QUE LES CONGOLAIS DOIVENT CAPTURER MORT OU VIF. VOUS LE COMPRENDREZ EN LISANT ATTENTIVEMENT
CETTE ENQUETE SUR LA LIQUIDATION FORCEE DE LA BANQUE CONGOLAISE.
USD.
195.000.000 ont été dilapidés à la Banque Congolaise avec la complicité
de la Banque Centrale du Congo (BCC). Au premier trimestre 2011, la BCC a
réalisé un déficit de franc congolais 75.000.000.000 soit dollars américains
81.521.739. A ce sujet, une enquête parlementaire avait été initiée. Selon
certaines indiscrétions, le Conseiller Spécial du chef de l’Etat, Monsieur
Pierre Lumbi aurai bénéficié des largesses de l’ordre de dollars américains
5.000.000 de Roger Alfred Yaghi, pour empêcher l’aboutissement de cette
enquête… Dans cette hypothèse, la « tolérance zéro » ne serait qu’une
poudre aux yeux des congolais !
Jean -
Claude MASANGU MULONGO, l’actuel Gouverneur de la BCC, Herman Cohen de Swift
International (société américaine) et Natacha MUAMBA ZABIBU (actionnaire
« sur papier », cousine de Jean-Claude MASANGU MULONGO et secrétaire
de Roger Yaghi) sont impliqués dans le blanchiment d’argent en RDC en complicité
avec leur « associé Kamikaze », monsieur Roger Yaghi, sujet libanais
« récidiviste » car expulsé n° 33 - visa d’entrée du 13 août 1994 –
n° 000743 du décret n° 0004 du 22 février 1995 de monsieur KENGO wa DONDO Léon
(alors premier Ministre sous le régime du dictateur MOBUTU) portant expulsion
des personnes étrangères dont la présence et la conduite ont compromis et
continuent à compromettre l’ordre public congolais, spécialement en matière
économique, financière et monétaire.
QUI EST
MONSIEUR ROGER ALFRED YAGHI EN SIGLE « RAY »?
Il est
l’aîné d’une famille de cinq enfants portant (tous) les initiales (RAY), en
occurrence :
-
Roger Alfred Yaghi (RAY)
-
Roland Alfred Yaghi (RAY)
-
Roméo Alfred Yaghi (RAY)
-
Robin Alfred Yaghi (RAY)
-
Robine
Alfred Yaghi (RAY)
Et ceci a
donné le nom au « RAY GROUP » qui a des tentacules jusqu’en Afrique
du Sud. En RDC, ce groupe possède plusieurs sociétés telles que : SGI,
SAFRIMEX, DELTA PROTECTION, ITB, TRANSAL…
Durant la 2ème
République, il a été poursuivi pour le « DETOURNEMENT » des deniers
publics. Lorsque Christophe BEYEYE DJEMA fût DG de la DGDA (ex OFIDA), Roger
Alfred Yaghi a eu à gérer les « QUITTANCES SPECIALES » (QS) de la
DGDA (ex. OFIDA), en faisant circuler plusieurs numéros de celles-ci à
plusieurs endroits à la fois, une des raisons pour laquelle il fût
« EXPLUSE » (Cfr. Le décret n°0004 du 22 février 1995 portant
expulsion des personnes étrangères) de la République du Zaïre lors du dernier
mandat de KENGO wa DONDO Léon à la primature. Ce décret d’expulsion, jusqu’à ce
jour, n’a jamais été abrogé.
Toujours
lors de la 2ème République, il avait créé une société de
télécommunication du nom d’ATN (AFRICAN TELECOMMUNICATION NETWORK) qui a eu à
gérer pendant un temps les communications de la Présidence de la République
sous MOBUTU. Ayant résidé clandestinement au pays après son expulsion, il fuya,
à la mort du Général MAHELE, son « PROTECTEUR », vers le Liban via
Brazzaville.
Roger Alfred
Yaghi a attaqué la République pour sa créance d’ATN au PGR. Quand M’zee Laurent
Désiré KABILA l’avait appris, il avait instruit le PGR pour le non
« PAIEMENT » de cette créance ; Une perquisition avait même été
opérée à sa résidence sise 44, avenue Kalemie, dans la commune de la Gombe ou
sous la supervision de feu Damien NDEBO, ancien IGA de la Police Judicaire des
parquets et plusieurs machines et des billets de « FAUX DOLLARS »
auraient été saisis.
Ce monsieur,
« protégé de l’actuel pouvoir et de l’entourage de Joseph KABILA »
étant rentré clandestinement dans son Liban natal, est revenu au pays une
semaine après la mort de M’zee Laurent Désiré KABILA. Et à peine rentré, il a
pu faire aboutir son action contre la BIAC en obtenant un
« jugement » intimant la République de payer la créance ATN qui avait
cédé sa créance à la société « TRANSAL » qui lui appartient. Et c’est
cette somme d’argent payée par la BIAC qui aurait servi à créer :
I.
LE BUREAU DE
CHANGE « CONGO EXCHANGE »
C’est un
bureau de change placé sous la responsabilité de Monsieur Ambroise TSHIYOYO qui
en réalité appartient à Monsieur Roger Yaghi, Monsieur Ambroise TSHIYOYO n’est
que le beau-frère de Roger Yhagi et frère aîné de son épouse, Madame Florentine
KALUBI TSHIMANGA.
Du mois
d’août 2001 à août 2003, en quête de devises, pour le financement du programme
de reconstruction du pays, la BCC a été amenée, à la demande du gouvernement à
recourir auprès des bureaux de change. Dans ce cadre, la BCC, avait débloqué et
mis à al disposition des bureaux de change, le montant de CDF. 23.000.000.000
réparti comme suit :
-
CONGO
EXCHANGE
CDF. 14.812.433.000
-
TOP
FLOUZ
CDF. 3.964.400.000
-
SOFICOM
CDF. 3.102.550.000
-
ZECOPAL
CDF. 1.430.785.000
-
HASSAN
IBRAHIM
CDF. 520.809.000
-
LUFAU
KIMWISI
CDF. 495.800.000
-
GENERAL EXCHANGE
CDF. 312.000.000
-
MASTER
CHANGE
CDF. 283.113.500
Il importe
de signaler ici que la contrepartie en devises du montant mis à la disposition
de « CONGO EXCHANGE » n’est retracable nulle part dans les livres de
la BCC. A quoi a servi cet argent ? Quelle en est sa destination, Qui en
est le bénéficiaire ?
II.
BANQUE
CONGOLAISE (actuellement en liquidation forcée)
L’actionnariat
de la Banque Congolaise se présente comme suit :
° Swift
Developments Int
LLC
39, 2% 3.539.777 actions USD. 17.698.885
° Mme
Florentine KALUBI TSHIMANGA
36,1% 3.252.777 actions USD. 16.263.885
° M. Umeldadi
Roshanali
Dhrolia
13,9% 1.252.778 actions USD. 6.263.890
° Etat
congolais
10,0% 900.000 actions USD. 4.500.000
° M. Mahfooz
Salem Bin
Mahfooz
0,3% 27.355 actions
USD. 136.665
° M. Daoud
Mourad
0,1%
5.467 actions USD. 27.335
° M. Abul
IIah
Nasser
0,1% 5.467 actions
USD. 27.335
° M. Mahmoud
Mattar
0,1%
5.467 actions USD. 27.335
° Ghandour
Industrir Congo
sprl
0,1% 5.467 actions
USD. 27.335
° M. Mbonga
Bolo
Trandogbia
0,1% 5.467 actions
USD. 27.467
TOTAL
9.000.000
actions USD. 45.000.000
Observations
·
La société
Swift International, détentrice de 39% du capital, est une société américaine
au capital de USD. 100, détenue à 92% par Monsieur Roger Yaghi qui en a confié
la gestion à Monsieur Herman Cohen. Les 8% sont détenus par Madame Natacha
MUAMBA ZABIBU, cousine de Jean-Claude MASANGU MULONGO (Gouverneur en
fonction de la BCC) et secrétaire de Monsieur Roger Yaghi.
·
Madame
Florentine KALUBI TSHIMANGA, détentrice de 36% du capital, est l’épouse de
Monsieur Roger Yaghi, le PCA du Conseil d’Administration de la Banque
Congolaise.
III.
LA FICTION
DE L’AUGMENTATION DU CAPITAL INTERVENUE EN 2010 AVEC LA COMPLICITE DE LA BCC
Suivant le
PV de l’assemblée générale du 10 mai 2010, La Banque Congolaise a procédé à
l’augmentation du capital de USD. 20.000.000, le portant de USD. 25.000.000 à
USD. 45.000.000. Selon ce PV, l’apport de USD. 20.000.000 a été effectué par la
conversion du prêt subordonné en apport en capital ! Après
vérification, il se dégage que le prêt subordonné en apport en
capital « n’a jamais existé ». La libération du capital pour le
compte des souscripteurs, la société Swift International (USD. 10.000.000) et
Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA (USD. 10.000.000) a été faite à partir de
plusieurs virements provenant du compte « HEREDIUM » qui est en fait
une société de gestion immobilière dont les actionnaires sont Monsieur Roger
Yaghi, le PCA de la Banque Congolaise, son épouse (Madame Florentine KALUBI
TSHIMANGA) également actionnaire et leur fils.
Cette
supercherie réalisé par la Banque Congolaise avec le concours du cabinet
DELOITTE&TOUCHE Congo sprl a permis à Monsieur Roger Yaghi de simuler
les apports des actionnaires par des « FAUSSES ECRITURES COMPTABLES »
qui consistaient notamment à transformer les dépôts en apport en capital et
cela à partir des virements de certains comptes en divises à soldes débiteurs.
L’augmentation
du capital de USD. 20.000.000 résulte des versements d’espèces de USD.
1.200.000 de HEREDIUM pour le compte de l’actionnaire Florentine KALUBI
TSHIMANGA et de USD. 18.800.000 de virement de compte à compte dont USD.
8.800.000 pour Florentine KALUBI TSHIMANGA et USD. 10.000.000 pour Swift Developments.
En réalité,
le capital n’a été augmenté que de USD. 1.200.000 et non de USD. 20.000.000.
L’actionnariat de la Banque Congolaise pose problème ainsi que son augmentation
du capital. Les actionnaires dont l’Etat n’ont « jamais souscrit et libéré »
formellement dans les livres des actionnaires excepté Madame Florentine KALUBI
TSHIMANGA et Monsieur Umedali.
IV.
LES
IRREGULARITES « FLAGRANTES » CI-APRES ONT ETE CONSTATEES AU 31
DECEMBRE 2010 PAR LE CABINET D’AUDIT KPMS
-
Des charges
d’intérêts de CDF. 10.736.000.000 sur les concours reçus de la BCC, ont été
sous-évalués ;
-
Des
facilités permanentes de CDF. 403.000.000 dont a bénéficié la Banque Congolaise
n’ont pas été comptabilisées ;
-
Des intérêts
de CDF. 302.000.000 sur call money ont été surestimés ;
-
Des avances
faites par la BCC en paiement des tiers pour le compte de la Banque Congolaise
n’ont pas été comptabilisées pour CDF. 7.868.000.000 (GAVI pour USD. 8.543.227
– Gouvernorat province Oriental pour CDF. 57.000.000 – MONUSCO pour USD.
62.000) ;
-
Des
opérations de change de CDF. 365.000.000 avec la BCC n’ont pas été
comptabilisées ;
-
Des dons et
libéralités de CDF. 1.475.766.000, soit USD. 1.500.000 ont été accordés sur les
dépôts des clients par Roger Yaghi (selon certaines indiscrétions des agents
« mécontents » de cette banque en faillite programmée, les Directeurs
et fonctionnaires de la BCC en sont les bénéficiaires…) ;
-
Des crédites
de CDF. 4.884.613.960, soit USD. 5.309.363 ont été accordé sans dossiers ni
garanties. Au 31 décembre 2010, ces autorités politico-administratives étaient
insolvables. Il s’agit de :
1. KABILA Jaynet, présidente de la
fondation Mzee Laurent Désiré Kabila (sœur jumelle du Président de la
République) ;
2. TSHIBANDA N’TUNGA MULOMBO Raymond,
ancien ministre et acteur politique de l’opposition ;
3. KANDE MUPOMPA Alex, ancien directeur
de cabinet du ministre de budget du gouvernement 1+4, Muamba Tshishimbi
François ;
4. MABI MULUMBA Evariste, ancien
premier ministre ;
5. KAMANDA wa KAMANDA Gérard, Acteur
politique
6. MUTINGA Modeste, propriétaire du
journal « le potentiel » MATENDA KYELU Athanase, Ministre des
Finances honoraire ;
7. KIN KEY MULUMBA Tryphon,
propriétaire du journal « le soft international »,
8. GHONDA MANGALIBI Antoine
9. BEMBE SAOLONA Jeannot, (+)
10. MUAMBA TSHITSHIMBI François
11. BEYA KASONGA François, DG/DGM
-
Des
transferts ordonnées et exécutés par la Banque Congolaise n’ont pas été
enregistrés par sa propre comptabilité (CITIBANK LONDON CDF. 147.000.000 –
CITIBANK NEW YORK CDF. 29.000.000 – BANK OF BEIRUT CDF. 108.000.000) ;
-
Des
transferts reçus des correspondants n’ont pas été enregistrés par la
comptabilité de la Banque Congolaise (CITIBANK CDF. 75.000.000 – BANK OF BEIRUT
CDF. 16.000.000 – KBC BRUXELLES CDF. 109.000.000) ;
-
Des intérêts
et des frais aux correspondants n’ont pas été comptabilisés pour CDF.
143.000.000 à la LIBANESE CANADIAN BANK (LCB) ;
-
Des
transferts des clients de CDF. 1.326.000.000 non exécutés par la Banque
Congolaise.
De ce qui
précède, monsieur Roger Alfred Yaghi est très influent dans tous les
milieux. Il a dans sa poche plusieurs hommes politiques tant de l’opposition
que de la majorité présidentielle (MP) qui ont souvent bénéficié de ses
largesses financières :
01. MUAMBA TSHITSHIMBI
François
USD. 1.536.736,41
02. TSHIBANDA N’TUNGA MULONGO
Raymond EUR. 25.002,59
USD. 829.993,78
USD. 107.712
03. KAMANDA wa KAMANDA
Gérard
USD. 703.123,16
04. PRESIDENCE DE LA
REPUBLIQUE
USD. 464.151,08
05. MATENDA KYELU Athanase
USD.
453.174,68
06. MUTINGA Modeste
USD. 338.303,8
07. KIN KIEY MULUMBA
Tryphon
USD. 269.078,88
08. BEMBE SAOLONA
Jeannot
USD. 231.506,6
09. BEYA
MASANGA
USD. 127.228,41
10. BEYA KASONGA
USD.
123.972,68
11. GHONDA MANGALIBI
Antoine
USD.81.094
12. MABI MULUMBA
Evariste
USD. 4.364,53
13. KANDE MUPOMPA Alex
EUR.3.173
Ces
messieurs qui ont profité de ces largesses se retrouvent dans le
Gouvernement, au Parlement, au Sénat, dans la Police, dans l’Armée, dans les
Services de sécurité, à la Présidence de la République, à la Banque Centrale du
Congo parmi lesquels Willy MUDIAYI MPINGA, Jean Marcel KALUBI KAYEMBE, Louis
N’SA ELONGO, Déogracias MUTOMBO MWANA NYEMBO, Willy KALOMBO NSENDA, MUPEPE LEBO
et autres cadres de la Direction de la Surveillance des Intermédiaires
Financiers « DSF » bénéficiaires des « dons et libéralités »
de FC. 1.475.766.000, soit USD. 1.500.000 au taux de 1 USD à 920 FC pour leurs
prestations extra horaires « pots-de-vin » qui représentent 95% des
« Charges hors exploitation » hormis les manquants de caisse de FC.
22.335.000 et les autres charges de FC. 54.555.000 sur un total de FC.
1.554.656.000 au 31 décembre 2010.
Ces
libéralités ont été octroyées sur les dépôts des clients
et « camouflés » dans les états financiers comme étant des
« charges hors exploitation » et surtout dans la magistrature que
monsieur Roger Alfred Yaghi a beaucoup de complices dont l’actuel
PGR, Flory KABANGE NUMBI. C’est de cette façon qu’il a pu faire
« élire » un de ses avocats, Me TSHIBANGU KALALA comme « Député
National ». Sans oublier aussi que l’ancien Président de l’Assemblée
National, Evariste BOSHAB, fût un de ses « avocats ». A cause de
cette « influence », il avait « promis » et
« obtenu » de faire « révoquer » l’Avocat Général (AG)
KANIKA pour avoir « instruit » et « enquêté » sur la Banque
Congolaise à ses débuts ; cette action avait abouti à la liquidation de
cette banque qui a repris ses activités à la démission du ministre des Finances
Freddy MATUNGULU.
Dans son
palmarès en RDC, monsieur Roger Alfred Yaghi était à la base des
« OPERATIONS CHEQUES CONTRE ESPECES » qui étaient à la base des
pillages en 1992.
Avec la
Banque Congolaise, ce dernier a racheté certaines dettes publiques pour
lesquelles la BCC a déjà payé le principal et les pénalités de retard supposés.
C’est une
créance (négocié par Me BOKATA KUNDAKA) d’USD 37.851.032 réparti comme
suit :
01. SOCIETE CELYEL (ex
STARCEL)
USD.18.556.361
02. SOCIETE
OFFIZAIRE
USD.7.704.761
03. SUCCESSION
LENGELO
USD 5.000.000
04. SOCIETE FAXIM
USD. 6.600.000
-
En dépit des
termes trop généraux et captivants du « PROTOCOLE D’ACCORD » entre l’Etat
congolais et la Banque Congolaise, il n’est pas à perdre de vue que cette
banque s’est en réalité porté fort pour recouvrer les créances des tiers, dont
le collectif de quatre (4) créanciers et de les payer consécutivement et qu’en
rémunération de ce service, pouvoir gagner 15% et éventuellement 18% de
pénalités en cas de retard dans le paiement.
-
A ce jour La
Banque Congolaise n’a pas honoré ses engagements alors que ces montants sont
destinés à ces entreprises telles STARCEL, en faillite dont les ex.
Travailleurs sont les principales victimes.
On a laissé
entendre au sein de l’USAID, que le Gouverneur la Banque Centrale du Congo
(BCC), monsieur Jean-Claude MASANGU MULONGO, serait actionnaire à travers sa
cousine Madame Natacha MUAMBA ZABIBU (actionnaire sur papier et secrétaire de
Roger Alfred Yaghi) dans les capitaux productifs de la Banque Congolaise (BC).
Ce dernier était bel et bien au courant de ces opérations en réalisation sur
base des masses d’argent à origine floue. C’est ici qu’il a été remarqué la
part active réalisé par le gouvernement de la RDC dans ces opérations de
blanchiment d’argent.
De tout ce
qui précède, nous déclarons clairement que Jean-Claude MASANGU MULONGO, actuel
Gouverneur de la Banque Centrale du Congo est impliqué dans l’affaire du
Libanais chrétien Alfred Roger Yaghi autour de la faillite jugée frauduleuse de
la Banque Congolaise (BC, ex.UBC, ex UZB) portant sur la disparition de USD.
300.000.000 du trésor interne.
Des analyses
faites sur cette situation respectivement dans les secteurs de travail
spécialisées à Kinshasa jugent cette « FAILLITE BRUTALE » de la
Banque Congolaise (BC) comme un phénomène normal et propre au processus en fin
d’accomplissement des actes de « BLANCHIMENT » de l’argent sale.