historique

Historique

Le PSPCongo a été constitué le 30 juin 1998 par des socialistes congolais qui ne se reconnaissaient dans aucune formation politique congolaise déjà existante. Le PSPCongo a été régulièrement reconnu et recensé par le ministère de l'intérieur de la République Démocratique du Congo en 2001, sous la référence : 25/cab/mini/inter/2282/2001.

Le PSPCongo n'est ni un nouveau parti ni un parti nouveau. C'est un parti historique qui doit son origine aux luttes menées tout au long de l'Histoire par la catégorie de la société toujours exclue de la modernité, du développement économique, social ou juridique. C'est la lutte de tous ceux qui veulent avoir leur place au sein de la société nationale, de ceux qui veulent que la dignité de tout individu soit reconnue.

C'est la lutte permanente de ceux qui veulent apporter leur contribution à la construction du pays et au développement de la société nationale. Cette revendication fondamentale, le PSP en fait sa base principale d'action. Le PSP s'inscrit donc dans le socialisme démocratique tel que défini par l'Histoire : démocratie politique, démocratie économique, démocratie sociale et solidarité.

Le PSPCongo n'est pas et ne sera jamais la propriété privée d'un individu ou d'un groupe d'individus. Il est dirigé par des responsables socialistes désignés par le vote démocratique des militants à tous les échelons.


*** Ici, le Parti Socialiste Progressiste : nous oeuvrons pour la Paix, la Justice, la Solidarité et la Responsabilité ***
*** Ils ont rêvé, ils ont cru, mais ils n'ont pas abouti... parce qu'ils ne se sont pas entendus ! ***

Communiqué de presse.


Membre de la M.P.P. , ami de la D.C. nous publions sur notre blog ce communiqué de la D.C.
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 03/08/2013 :ALERTE DU 03/08/2013 : LA TORTURE PHYSIQUE DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA PAR SES BOURREAUX DU REGIME KABILA CONTINUE

par mpp le 3 août 2013

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COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DU 03/08/2013 :

ALERTE DU 03/08/2013 : LA TORTURE PHYSIQUE DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA PAR SES BOURREAUX DU REGIME KABILA CONTINUE


La Démocratie Chrétienne, DC en sigle tient à informer la communauté nationale et internationale que le régime Kabila continue à nier les soins médicaux urgents a l’Honorable Eugène Diomi Ndongala, détenu illégalement depuis 4 mois en violation de trois ordonnances de la Cour Suprême de Justice.

Depuis le 29/07/2013 le médecin de la prison CPRK a établi un bulletin urgent de transfert du Président Diomi Ndongala dans un centre hospitalier où il doit subir urgemment un scanner et être hospitalisé urgemment.

Plutôt que mettre en application le transfert urgent dû à la dégradation grave de l’état de santé de Diomi Ndongala, le Directeur de la prison, le Colonel Thaddée Kabisa, tél 0819474030 refuse, avec des excuses et des prétextes ridicules, de transférer le Député du Peuple dans un Centre Hospitalier capable de prendre en charge l’ensemble des pathologies graves dont le Président Diomi Ndongala souffre, tout en reconnaissant que le bulletin de transfert a été déjà signé depuis longue date :

- Du 30/07/13 au 02/08 /2013 Le Directeur du CPRK a dit aux avocats de Diomi Ndongala que le transfert n’était pas possible car le SEUL véhicule du CPRK serait en panne ;

- Le 02/08/2013, M Le Colonel / Directeur fait le transfert d’un autre détenu à Mama Yemo et avec cette excuse prétexte l’indisponibilité dudit véhicule. La famille Diomi Ndongala propose de mettre à disposition son propre véhicule mais le Directeur refuse cette possibilité sans aucune explication.

Il assure que le transfert sera fait le 03/08/2013 mais le matin du 03/08/2013, alors que l’avocat de Diomi Ndongala est présent au CPRK depuis 09h00 pour suivre le transfert – comme demandé la veille par le Directeur Colonel Kabisa lui-même – voilà qu’il est informé que le véhicule du CPRK serait encore tombé curieusement en panne. L’avocat de Diomi Ndongala demande de voir le Directeur du CPK qui refuse de le recevoir sans aucune explication.


La Démocratie Chrétienne prend à témoin l’opinion nationale et internationale de la volonté manifeste du régime Kabila de continuer à torturer physiquement et moralement le leader de la Démocratie Chrétienne, à cause d’injonctions politiques visant l’élimination de Diomi Ndongala à petit feu, à travers le refus de lui reconnaitre son droit inaliénable à l’assistance médicale que son état de santé très détérioré requiert urgemment.

La Démocratie Chrétienne fait sien l’appel de l’Organisation mondiale contre la Torture du 30/07/2013 dénonçant la torture physique et morale qui subit le président de la Démocratie Chrétienne, qui est traité comme le prisonnier personnel de Joseph Kabila. En effet, tous les cadres de l’administration pénitentiaires contactés par les membres de la DC confirment que même le transfert à l’hôpital décidé par le médecin interne de la prison est conditionné par le dictat de Joseph Kabila.

La Démocratie Chrétienne souligne qu’elle tiendra comme personnellement responsables tous les cadres de l’administration de la justice et ceux des services de sécurité ainsi que Joseph Kabila, pour toute conséquence néfaste qui pourrait découler du manque d’assistance médicale urgente et déni de soins de santé au Président Diomi Ndongala.


Elle rappelle le grave précèdent du Général Yav, laissé mourir – pour ne pas dire « exécuté » – à petit feu en prison pour manque d’assistance médicale.

Egalement, elle souligne la passivité de la Monusco qui, bien qu’informée de la situation, préfère assumer une position passive de non-assistance à personne en danger pour ne pas bousculer le régime liberticide en place à Kinshasa qui vise l’élimination physique d’un prisonnier politique.



Vérité et Justice pour le Congo,

Fait à Kinshasa le 03/08/2013

Marc Mawete,

Porte-Parole

Démocratie Chrétienne, DC

http://wp.me/p18AQh-1LE