Petite réflexion sur les organismes internationaux en RDC.
Et si nous faisions un petit bilan rapide ou plutôt une petite réflexion sur la crise congolaise eu regard aux Organismes internationaux.
L'O.N.U. créée pour assurer la paix dans le monde, mais presque totalement au service des 5 membres Permanents du Conseil de Sécurité et par ailleurs les plus grands fabricants et vendeurs d'armes au monde, à travers la MONUSCO, l'ONU,disions-nous, se servant des Tutsi rwandais, burundais et ougandais, a su créer dans les cœurs des Congolais et Congolaises une RANCŒUR profonde et quasiment irrémédiable.
L'U.A. l'ex- OUA, alors qu'elle avait inscrit dans sa Charte en 1963 le principe de l'intangibilité des frontières et l'intégrité territoriale des Etats africains membres, l'Union Africaine, totalement dépendante de l'Union Européenne a, par son silence ou plutôt par son inaction devant la crise congolaise, contribué aussi à renforcer ce sentiment de rancœur.
Les CongolaisEs blesséEs, humiliéEs ne peuvent qu'entretenir et développer naturellement un sentiment de REVANCHE. Revanche sur leurs bourreaux actuels,revanche sur la MONUSCO en place. Et tout cela peut les conduire à se poser des questions sur la présence de leur pays dans ces organismes qu'ils considèrent "nocifs" qui ont contribué aussi (à tord ou à raison) à leur drame.
C'est ce que nous appelons RÉBELLION. Une rébellion qui peut se manifester d'une façon ou d'une.
Au total notre petit bilan rapide peut se résumer par ce que nous appelons les 3 R : "Rancœur,Revanche et Rébellion". A bon entendeur salut.
L'O.N.U. créée pour assurer la paix dans le monde, mais presque totalement au service des 5 membres Permanents du Conseil de Sécurité et par ailleurs les plus grands fabricants et vendeurs d'armes au monde, à travers la MONUSCO, l'ONU,disions-nous, se servant des Tutsi rwandais, burundais et ougandais, a su créer dans les cœurs des Congolais et Congolaises une RANCŒUR profonde et quasiment irrémédiable.
L'U.A. l'ex- OUA, alors qu'elle avait inscrit dans sa Charte en 1963 le principe de l'intangibilité des frontières et l'intégrité territoriale des Etats africains membres, l'Union Africaine, totalement dépendante de l'Union Européenne a, par son silence ou plutôt par son inaction devant la crise congolaise, contribué aussi à renforcer ce sentiment de rancœur.
Les CongolaisEs blesséEs, humiliéEs ne peuvent qu'entretenir et développer naturellement un sentiment de REVANCHE. Revanche sur leurs bourreaux actuels,revanche sur la MONUSCO en place. Et tout cela peut les conduire à se poser des questions sur la présence de leur pays dans ces organismes qu'ils considèrent "nocifs" qui ont contribué aussi (à tord ou à raison) à leur drame.
C'est ce que nous appelons RÉBELLION. Une rébellion qui peut se manifester d'une façon ou d'une.
Au total notre petit bilan rapide peut se résumer par ce que nous appelons les 3 R : "Rancœur,Revanche et Rébellion". A bon entendeur salut.
Nouvelle intervention de la M.P.P.
Nouvelle publication de la MAJORITÉ PRÉSIDENTIELLE POPULAIRE, "M.P.P" |
|
Membre de la M.P.P. nous publions ici une nouvelle intervention que nous soutenons totalement.
|
Membre de la Majorité Présidentielle Populaire, M.P.P nous reprenons et publions sur notre blog ce discours complet, sans équivoque, prononcé par notre porte parole, Monsieur Eugène Diomi Ndogala. Nous en sommes fiers.
COMMUNIQUE DE LA MPP SUR LA CRISE DE LEGITIMITE QUI FRAPPE LA RDC ET SES IMPLICATIONS DIRECTES SUR LE CONFLIT QUI FRAPPE L’EST DE LA RDC
par mpp le 11 décembre 2012
COMMUNIQUE DE LA MPP SUR LA CRISE DE LEGITIMITE QUI FRAPPE LA RDC ET SES IMPLICATIONS DIRECTES SUR LE CONFLIT QUI FRAPPE L’EST DE LA RDC
La République Démocratique du Congo est frappée par une grave crise de légitimité qui trouve ses origines dans la fraude électorale massive et le bourrage des urnes qui ont caractérisé les élections présidentielles et législatives de novembre 2011, cautionnées par un Commission Electorale partisane.
L’absence de crédibilité de ces élections
avait provoqué une importante réaction populaire réprimée dans le sang
au mois de décembre 2011 et janvier 2012. Par la suite, le président
sortant Joseph Kabila, prêtant sermon dans un camp militaire sécurisé
craignant la réaction populaire, a continué à suivre la logique néfaste
de placer les forces politiques et sociales congolaise acquises au
changement devant le « fait accompli » d’un « putch politique et
administratif », tout en réprimant les droits civils et politiques
ainsi que les droits de l’homme des citoyens congolais.
L’échec de sa gouvernance depuis une
décennie a été à la base du rejet de sa candidature de la part de la
majorité des congolais, qui ont voté massivement en faveur de S.E.
Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
L’échec de la politique sécuritaire du
président sortant, en particulier, est à la base de la débâcle
militaire des forces armées congolaises face à la rébellion de « proxy »
dite M23 qui, en se prévalant ouvertement de complicité à l’intérieur
de l’Etat-major Militaire et même au plus haut niveau de l’Exécutif
issu de la fraude électoral, a pu prendre le contrôle d’une partie du
territoire nationale dont la capitale provinciale du Nord Kivu, presque
sans combat.
En plus de cette complicité interne, due à
la faiblesse et à la duplicité de la gouvernance kabiliste, plusieurs
rapports des Nations Unis ont donné des éléments de preuve du soutien
du Rwanda et de l’Ouganda à la « rébellion de proxy M23 » laquelle,
manifestement, est utilisée comme couverture d’une agression de la
RDC de la part de ses voisins membres de la CIRGL, Communauté
Internationale de la Région des Grands Lacs.
Dans ce contexte politico-militaire, la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle, tient à souligner ce qu’il suit:
1. Les pourparlers de Kampala entre l’exécutif de M. Kabila issu de la fraude électorale et la « rébellion de proxy M23 » ne
peuvent donner aucune solution tant aux problèmes régionaux qu’aux
problèmes nationaux de la République Démocratique du Congo, car les deux
interlocuteurs des discussions dites de paix sont tous les deux
dépourvus de toute légitimité pour parler et engager le peuple
congolais ;
2. L’organisation de ces pourparlers sous l’égide de l’Ouganda les place sous une médiation partisane,
à cause de l’implication directe dans le conflit tant de l’Ouganda que
de son allié régionale rwandais : il est aberrant qu’au moment où
plusieurs rapports des Experts de l’Onu publient des documents
circonstanciés mettant en exergue l’implication de forces armées
rwandaises et ougandaises, le président sortant Joseph Kabila se plie
passivement à accepter la médiation de ces deux pays dans le conflit qui
frappe le Nord et Sud Kivu, faisant apparaitre ce même conflit
tantôt comme une agression internationale et tantôt comme une mutinerie
interne sans implications internationales. Ce jonglage continu de la communication et de la diplomatie ne fait qu’accroitre l’incapacité de la RDC à bien se faire représenter et défendre ses intérêts, reproduisant curieusement sur le plan des rapports internationaux et diplomatiques la logique militaire néfaste dite des « replis stratégiques »
qui ont permis au M23, sur le plan militaire, de contrôler la ville de
Goma et d’autres localité de la RDC avant elle presque sans combattre ;
sur le plan diplomatique, le jonglage entre les accusations d’agression
et le retrait par la suite de ces accusations dans des sommets
régionaux, ont placé la RDC dans l’impossibilité de se défendre
convenablement prenant à témoin la communauté internationale et le
Conseil de sécurité de l’ONU.
3. Il sied de souligner le choix
opportuniste des délégués du M23 à Kampala d’évoquer la crise de
légitimité qui frappe la RDC afin élargir l’assiette de discussion et se
tailler ainsi un plus grand espace de négociation de pouvoir. La MPP tient à souligner que les pourparlers de Kampala n’ont ni la crédibilité ni la compétence à établir un « ordre institutionnel nouveau ».
4. De plus, l’échec annoncé de ces négociations, vu le manque de sérieux qui les caractérise sur le plan la représentativité des délégations présentes et l’absence de cadre crédible de discussion, ne fera que confirmer le « statu quo » qui risque d’être sanctionné par le déploiement d’une force dite neutre, à l’intérieur du territoire national .
5. La MPP exprime la crainte que l’échec annoncé de ces pourparlers ne soit prévu à dessein afin
de confirmer la reconnaissance de l’administration M23, dans le temps
et dans l’espace, sur une partie du territoire national, dans
l’objectif, qui n’est plus caché, d’en faire un territoire « autonome »
placé sous l’égide politique et militaire des pays des Grands Lacs
impliqués activement dans le conflit qui frappe le Nord et le Sud Kivu
depuis des années.
Dans ce contexte caractérisé par une
trahison interne des intérêts supérieurs du peuple congolais, il ne
reste à la nation congolaise qu’une prise de conscience collective de la
nécessité de reprendre le contrôle de son destin, mettant un terme
l’usurpation de pouvoir qui gangrène les fondations de l’Etat congolais.
La MPP soutient la nécessité immédiate de l’organisation d’un vrai Dialogue National, sous l’égide d’une médiation neutre, ayant comme objet principal à son Ordre du Jour la solution de la crise de légitimité qui frappe actuellement la RDC.
C’est seulement après la mise en place
d’un ordre institutionnel légitime que le Congo Démocratique pourra
rétablir l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire nationale,
car un gouvernement de « Vichy » illégitime ne pourra jamais trouver des
solutions de long terme pour une paix durable sur l’ensemble de son
territoire national.
Vérité et Justice pour le Congo,
Le Peuple d’Abord,
Fait à Kinshasa, le 11/12/2012
Pour la Majorité Présidentielle Populaire, MPP,
Son Porte-Parole,
Eugène DIOMI NDONGALA
La révocation du Rwanda du Conseil de Sécurité de l' O.N.U.
RDC : Les femmes Congolaises exigent la révocation du Rwanda au Conseil de Sécurité des Nations-Unies
28/10/2012 07:35:00
KongoTimes!
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
Ref: FCDD/MCB-RM/002/1012
A Monsieur le Président du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, 760 United Nations Plazza, Manhattan, NY 10017, USA
Objet: La révocation du siège Rwanda au Conseil de Sécurité
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
En dépit de plusieurs protestations, vous aviez délibérément accepté sa candidature et de le faire élire par un vote que nous jugeons cynique car vous n’aviez pas tenu compte de plusieurs rapports de vos experts qui ont démontré avec force détail des agressions maintes fois répétées de ce pays contre la République Démocratique du Congo, agressions qui se sont traduites par 8.000.000 de morts d’innocentes victimes congolaises et enfants massacrés dans des conditions inhumaines ainsi que d’autres enterrées vivantes.
Vous n’allez pas nous dire que vous ignoriez ces faits. Mais, malgré cela, vous aviez accepté de siéger avec ce pays sanguinaire. Permettez-nous de vous dire que vous venez de commettre une entorse grave en violant les prescrits de la charte et du règlement d’ordre intérieur de votre institution.
En effet, en acceptant le Rwanda, c’est comme si vous faites revenir l’Allemagne Nazie dans le concert des nations, en crachant sur la mémoire de 6.000.000 d’innocentes victimes juives, mortes dans des conditions atroces, dans des chambres à gaz, dans le froid, de la malnutrition et des maladies dues a des mauvais traitements leur infligés par les nazis.
En acceptant le Rwanda, vous êtes entrain de cautionner le génocide congolais, planifié par Bill Clinton et ses amis des multinationales qui sont entrain de spolier les richesses de notre pays, comme le fut jadis pour les juifs où l’on avait assisté à un génocide industriel, monstrueux, gigantesque, inoubliable.
Plusieurs millions d'Européens – Juifs ou non - furent assassinés dans les camps de concentration et d'extermination. Les chemins de fer européens, une administration publique, des hommes d'affaires, des industries chimiques, des entreprises de construction... furent réquisitionnés, se portèrent volontaires ou se montrèrent intéressés financièrement pour œuvrer au bon déroulement de cette épuration ethnique et politique.
Rappelez vous qu'à Nuremberg il était fait mention de : PLUS JAMAIS Ça !!! Y a-t-il une amnésie volontaire pour l'HOLOCAUSTE des congolais ? le monde entier est devenu aphone, car les « grands » de ce monde sont entrain de faire un travail ignoble par leur enrichissement illicite au dos des congolais, en se servant gratuitement de ses ressources et participant à l'extermination de ce peuple qui ne demande qu'à vivre ?
Aujourd'hui, nous FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, savons où se trouvent les assassins, les voleurs, et bandits aux cols blancs qui ont planifié ces crimes qui relèvent de la barbarie, d'une société en perte de civilisation en pleine décadence.
Le peuple congolais vit actuellement le racisme, du fait de la cruauté des descendants du Ku Klux Klan, des négriers, des esclavagistes du 15è, 16è, 17è, 18è, 19è siècle…Encore aujourd'hui, nous ne voyons aucune différence si l’on enjuge les atrocités qu'ont subies les noirs d'Afrique déportés au nouveau monde par la férocité des conquistadors blancs…
Nous ne sommes pas dupes, et sommes conscientes de leur complexe de supériorité, de leur appétit frénétique de l'argent qui les poussent à massacrer, tuer, égorger, voler sans scrupule en RDC.
Les séquelles causées par une idéologie politique raciste comme le national-socialisme restent présentes dans la mémoire collective européenne et mondiale.
En acceptant le Rwanda, vous êtes en train de mettre en pratique les options nazies sur la supériorité des races et vous considérez que nous, bantous sommes inferieurs aux tutsis, qui ont eux, le droit de vie et de mort sur nous peuples bantous que vous considerez comme etant des sous-hommes.
Les gorilles des montagnes attirent votre attention (car cette espèce est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) et son extension est annoncée par la presse occidentale, qui ne fdait aucun cas du genocide congolais.
Dans notre lettre adressée au Secrétaire Général, nous avions clarifié les choses pour ce qui concerne cette « guerre » qui n’en est pas une, mais une ruée vers le coltan et d’autres matieres strategiques.
Laissez-nous vous donner quelques précisions sur les acteurs impliqués dans des massacres des populations.
Vous le savez aussi bien que nous que les armées régulières du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi agressent continuellement notre pays et ce depuis 1996, et qui sont devenues pour des « forces négatives » que nous, congolais jurons de combattre dès qu’un gouvernement responsable sera établi en République Démocratique du Congo.
Vous le savez aussi bien que depuis l’invasion de notre pays par l’AFDL créée officiellement à Kigali dans le but de chasser du pouvoir le Président Mobutu, les troupes, l’armement et la logistique étaient fournis par le Rwanda, les militaires de l’APR, de l’Ouganda People’s Defence Force (UPDF) et des Forces armées burundaises (FAB) sont entrés en masse au Zaïre. Au cours de cette conquête fulgurante, les éléments de l’AFDL, de l’APR et des FAB ont attaqué et détruit tous les camps de réfugiés hutus rwandais et burundais installés dans les environs d’Uvira, de Bukavu et de Goma.
Vous savez mieux que nous que dans les années 90, Monsieur CLINTON Bill avait réservé une ligne budgétaire pour armer le Rwanda en vue de réduire la RDC à néant suite à une étude conjointe de la CIA et du Pentagone, intitulée : « No Paper Zaïre », a savoir la disparition du Zaïre sur la carte du monde et l’avènement d’un Etat faible qui fait allégeance au Rwanda : La République Démocratique du Congo.
Depuis l’assassinat de Laurent Désiré Kabila par des tueurs-tutsi rwandais avec la complicité de la MONUC, nous assistons à plusieurs mutations et métamorphoses des organisations criminelles tutsi : Les créations du RCD/Goma en 1998, celle du CNDP en 2008 suivi de celle du M23 et aujourd’hui de l’ARC ne sont que des subterfuges de Kagamé pour tenter de cacher son jeu néfaste et criminel. Sur ce point-ci, nous tenons encore ici à clarifier les choses :
Les organisations criminelles tutsies telles que l’AFDL, le RCD/Goma, le CNDP, le M23 et aujourd’hui l’ARC ne sont pas des mouvements de rébellion, mais plutôt des bandes de mercenaires et criminels rwandais qui veulent se faire passer pour des Congolais et ne peuvent en aucun cas bénéficier du statut de prisonniers de guerre.
C’est pour cette raison que Kagamé; spécialiste dans l'histoire des conquêtes militaires apprises aux USA a fait transformer le nom du M23 en celui de ARC (Armée Révolutionnaire du Congo).
Cette nouvelle appellation, vous vous en doutez éveille les curiosités de tous les bons sens au regard de la définition même de l'Armée. C’est encore lui qui avait versé 4 milliards de dollars aux multinationales afin de corrompre les pays qui ont voté pour l’admission du Rwanda au Conseil de Sécurité. Nous savons également et ce depuis longtemps que le parrain attitré de la guerre de l'Est n'est autre que l'ancien Président américain Bill Clinton.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DIASPORA à mettre en évidence un extrait de l’addendum au rapport intérimaire du Groupe d’Experts(1) sur la RDC (S/2012/348) concernant: Violations par le Gouvernement rwandais de l’embargo sur les armes et du régime de sanction, rapport qui établit formellement la culpabilité et la complicité du Rwanda dans des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide en République Démocratique du Congo.
“F. Officiels rwandais responsables pour le soutien au M23
“33. Durant toutes ses enquêtes, le Groupe a systématiquement recueilli des témoignages d‟anciens combattants du M23, de collaborateurs du M23, d‟anciens officiers des FRD, des services de renseignement congolais, des commandants FARDC et des hommes politiques qui affirment l‟implication directe du gouvernement rwandais à un haut niveau dans l‟appui au M23.a) Le général Jacques Nziza, le secrétaire permanent du Ministre de la Défense, supervise l‟ensemble de l‟appui militaire, financier, et logistique ainsi que les activités de mobilisation en faveur du M23. Il a été récemment déployé à Ruhengeri et à Gisenyi pour coordonner l‟aide et le recrutement pour le M23.
b) Le général James Kabarebe, le Ministre de la défense rwandais, avec l‟aide de son secrétaire personnel le Capitaine Célestin Senkoko, est également une figure centrale pour le recrutement et la mobilisation de soutien politique et militaire au M23. Kabarebe a souvent été en contact direct avec les membres du M23 sur le terrain pour coordonner les activités militaires.
_c) Le général Charles Kayonga, le chef d‟état-major des FRD gère l‟ensemble de l‟aide militaire au M23. Kayonga est régulièrement en communication avec Makenga et a supervisé the transfert des troupes et des armes de Makenga via le Rwanda.
d) Le soutien militaire sur le terrain a été acheminé par le général Emmanuel Ruvusha, le commandant de la division FRD basée à Gisenyi, ainsi que le général Alexi Kagamé, commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à Runyoni avec les commandants du M23commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à Runyoni avec les commandants du M23.
e) Le colonel Jomba Gakumba, un natif du Nord-Kivu, qui fut un instructeur FRD à l‟Académie Militaire rwandaise à Gako, a été redéployé à Ruhengeri depuis la création du M23, où il est chargé de commander les opérations militaires locales en soutien au M23.
34. D‟anciens officiers RDF, des hommes politiques, des collaborateurs du M23 ont également informé le Groupe que Ntaganda et Makenga ont régulièrement traversé la frontière avec le
Rwanda pour participer à des réunions avec chacun des hauts officiers FRD mentionnés ci-dessus à Kinigi afin de coordonner les opérations et le ravitaillement. Deux nationaux rwandais du M23, qui se sont rendus depuis, ont assisté à de telles réunions entre Makenga et des hauts officiers FRD à Kinigi, à plusieurs reprises. Les mêmes sources ont aussi déclaré que l‟ancien président du CNDP, le général Laurent Nkunda, officiellement en résidence surveillée par le gouvernement rwandais depuis janvier 2009, vient souvent de Kigali pour participer à ces réunions.
III. Soutien du Rwanda à des groupes armés et des mutineries liées au M23
35. En plus du soutien des FRD au M23, le Groupe a recueilli des preuves indiquant que les officiels rwandais ont apporté leur soutien à d‟autres groupes armés et à des mutineries, utilisant souvent Ntaganda et d‟autres anciens commandants du CNDP pour encourager de telles alliances.Agissant par l‟intermédiaire de ces groupes armés, les officiels rwandais sont arrivés à affaiblir les FDLR à travers une série d‟assassinats ciblés d‟officiers FDLR. Des officiers du M23 et des leaders de groupes armés ont reconnu que ces alliances ont pour objectif commun de déstabiliser le gouvernement central...”
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
La présence du Rwanda à ce siège aura un impact négatif sur les populations congolaises victimes de la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo Le Rwanda sera maintenant en mesure de bloquer les sanctions impliquant les officiels rwandais et d’autres initiatives dans la recherche de la paix dans notre pays.
Nous pensons que ce sera une situation grave qui pourra avoir des conséquences négatives sur la population à l’Est de la RDC. Le Rwanda n’est pas crédible pour occuper maintenant ce siège à cause des crimes qu’il a commis dans notre pays, et nous estimons que c’est un conflit d’intérêt d’avoir un pays à la table du conseil de sécurité qui a ouvertement violé l’embargo sur les armes imposé par les Nations unies et qui est en train de soutenir une rébellion dans un pays voisin et qui est responsable des crimes de guerre dirigés par Bosco Ntaganda recherché par la CPI.
Le Conseil de sécurité ayant la responsabilité du maintien de la paix et de la sécurité internationale, ses décisions, résolutions ou déclarations sont en principe contraignantes et doivent recueillir au moins neuf voix sur 15, sans veto. Le Rwanda est un obstacle à la paix en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, NOUS FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, accusons les gouvernements pays membres permanents du Conseil de sécurité tels que, les Etats Unis, la France et la Grande Bretagne de non assistance du Peuple Congolais en danger de mort permanent de la part du Rwanda et qui le laisse perpétrer le génocide du peuple congolais dont le tort est tout simplement d’être des noirs et d’être nés sur un pays riche que DIEU a juré à nos pères de nous le donner.
Nous accusons les pays membres de l’Union Européenne, dont le Prix Nobel de la paix leur avait été indument décerné, du fait de leur complaisance à l’égard du régime de Paul Kagamé dans ses actions criminelles en République Démocratique du Congo.
Nous les accusons également d’avoir imposé Joseph Kabila, un sujet tutsi-rwandais à la tête de la République Démocratique du Congo en 2006 avec l’aval George Bush et de Jacques Chirac au moyen d'élections truquées et financées par l’Union Européenne (UE), que la condition exigée à Joseph Kabila pour rester au pouvoir était qu’il se taise sur les incursions rwandaises à l’Est de la RDC et sur les atrocités commises par les hommes de Kagamé.
Nous accusons les anciens dirigeants occidentaux de racistes pour avoir été au service des multinationales qui tuent et massacrent des populations a l’Est de la RDC tels que George H.W. Bush a servi comme un conseillé payé de Barrick Gold. Parmi les directeurs de Barrick Gold, se trouvent Brian Mulroney, ancien premier ministre du Canada; Edwards Neys, ancien ambassadeur américain au Canada et PDG de Burston-Marsteller, une compagnie de relations publiques; l’ancien sénateur américain Howard Baker; J. Trevor Eyton, un membre du Sénat Canadien; et Vernon Jordan, l’un des avocats de Bill Clinton.
Nous accusons Mr Bill Clinton et Kagame d’être les instigateurs du génocide congolais à la suite de l’assassinat et du crash de l’avion de l’ancien Président rwandais Habyarimana, dont ils furent également les auteurs.
Nous accusons ici formellement Tony Blair, le conseiller personnel de Kagamé, c’est lui qui l’encourage tous les jours de poursuivre des activités criminelles en RDC. C’est Tony Blair qui est le commissionnaire attitres de Kagamé dans les ventes des matières premières volées au Congo.
Nous accusons Nicolas SARKOZY d’encourager le Rwanda et Paul Kagamé de continuer à piller les ressources minières de le la RDC et d’avoir exigé a ce que nous partagions nos richesses avec le Rwanda.
Nous accusons Louis Michel d’avoir truqué des élections en RDC pour lui imposer un sujet tutsi-rwandais afin de pérenniser l’occupation politico- militaire de la RDC. C’est lui qui est l’avocat des criminels rwandais dans toutes les instances internationales.
Nous ne sommes plus dupes car la majorité de l’opinion congolaise et internationale consciente du fait que la guerre au Congo est poussée par le désire d’extraire les matières premières, y compris le diamant, l’or, le colombium tantalite (coltan), le nobium, le cobalt, le cuivre, l’uranium et le pétrole.
Les multinationales occidentales procèdent à l’extraction sans précédente des minerais au Congo, et il est estimé que des tonnes et des tonnes de cobalt d’une valeur de $6 millions par jour rien que le cobalt sort du Congo par jour. Le cobalt est un élément contenant su superalliage, essentiellement nécessaire à l’industrie nucléaire, chimique, l’industrie d’aviation et de défense.
Nous dénonçons Le Groupe Forrest a une longue histoire d’exploitation au Congo, plus que tous les autres. Ce groupe a acquis ses premières concessions minières au Congo avant la déclaration de l’indépendance du Congo des belges. Le Groupe Forrest qui comprend aussi le Groupe OM basé à Ohio, dispose de plusieurs concessions minières au Katanga. Le Chairman George Forrest, ancien PDG de la compagnie minière de l’Etat Congolais, la Gécamines, est propriétaire de New Lachaussse, une firme qui fabrique les armes.
Nous dénonçons le groupe Adastra Mining, qui est l’un des partenaires miniers de Barrick Gold. Adastra Mining, connue sous le nom d’American Mineral Fields (AMFI, AMX, elle a eu d’autres appellations), basée à Hope, Arkansas, la ville natale de Bill Clinton. Adastra jouit des relations de proximité avec Lazare Kaplan International INC., la plus grande compagnie de courtage diamantifère aux États-Unis, et dont le président n’est autre que Maurice Tempelsman, qui a toujours été un conseiller des Affaires Africaines dans les administrations américaines successives. Il a aussi été le Consul Général Honoraire Américain pour la République Démocratique du Congo
Nous dénonçons les activités de plusieurs compagnies minières multinationales qui n’ont jamais été, si pas rarement, mentionnées dans un rapport quelconque des organisations des droits de l’homme, entre autre Barrick Gold, qui opère dans la ville de Watsa, au nord-est de la ville de Bunia, localisées dans des zones où opèrent des bandes armées et qui créent de l’insécurité dans cette partie de la Province Orientale. Ces mines étaient sous le contrôle intermittent des Forces de Défense du Peuple Ougandais (UPDF) pendant la guerre. La multinationale Barrick Gold est arrivé dans la région sous bonne escorte des troupes Rwandaises (Front Patriotic Rwandais, FPR) et Ougandaises (UPDF), pour exploiter et piller les mines d’or.
Nous dénonçons aussi les activités de Anglo-Ashanti appartenant a Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies qui travaille en partenariat avec Anglo-American, une propriété de la famille Oppenheimer qui en son tour est en partenariat avec Barrick Gold, basée au Canada. L’Anglo-American PLC, basée à Londres détient 45% des actions dans DeBeers, qui contrôle le quasi-monopole. Il nous apparait aujourd’hui clair que cet homme est également comptable de crimes commis en RDC et que c’est lui, aux travers de la MONUC, qui avait mis en place des structures de pillages de nos matières premières qui sont négociées a Kigali, Entebbe, Kampala et Bujumbura.
Nous regrettons amèrement que les autres membres des Nations Unies se soient laissés manipuler par les mensonges de ce pays criminel et nous les prions de revenir sur leur vote car à l’allure où vont les choses, une grande majorité des Etats Membres ne font plus confiance aux Nations Unies et pensent sérieusement de mettre en place la construction d’une autre organisation plus crédible dont la base est l’Organisation des pays non-alignés.
Nous souhaiterions que notre pays en fasse partie des lors qu’il sera établi un gouvernement responsable en République.
Aux femmes et aux hommes politiques congolais la Patrie est en danger, nous vous disons de prendre vos responsabilités, car notre pays est en voie d’être balkanisé.
Le député Jose Makila a pris son courage en main pour dénoncer la forfaiture du gouvernement mis en place par les multinationales et les grandes puissances occidentales, vous avez le devoir de réagir et de défendre l’intégrité de notre pays en résistant contre les voyous et les criminels tutsi-rwandais. Car on a installe peu a peu la politique de l’apartheid au Kongo.
Aux medias et aux organisations de défense des droits de l’homme, nous vous remercions par l’avance de diffuser de part le monde ces cris de détresse de Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, mise a part DIEU qui est notre SEUL GARANT et AVOCAT nous vous saurions gré de bien vouloir être les défenseurs de notre noble cause.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Avant de conclure notre lettre, nous tenions à vous rappeler que notre pays est victime des agressions venues spécialement du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi et que la Résolution 3314 de l’Assemblée générale de l’ONU.
En date du 14 décembre 1974, déclare officiellement qu’une guerre d’agression est un crime contre la paix internationale. Elle définit l’agression comme « l’emploi de la force armée par un État contre la souveraineté, l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique d’un autre État », reprenant ainsi la formule du principe de l’interdiction de la force dans les relations internationales, tel qu’on le trouve codifié à l’article 2, paragraphe 4 , de la Charte de l’ONU: Les membres de l’Organisation s’abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l’emploi de la force, soit contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts et principes des Nations Unies ».
Compte tenu de ce qui précède, nous vous prions de bien vouloir transmettre des copies de cette lettre aux représentants de tous les membres de l’Organisation des Nations Unies afin qu’ils se rappellent des principes et des objectifs visés par les Etats Membres étaient de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Nous ne pensons pas que le Rwanda souscrit aux dispositions de l’article Ier de la Charte du fait des crimes abominables qu’il commet tous les jours sur le territoire congolais.
Par conséquent, son admission au Conseil de Sécurité est une abomination eu égard à la morale politique qui sied aux nations modernes et nous ne comprenons pas pourquoi l’occident qui a fondé sa civilisation sur la distinction du BIEN et du MAL puisse à ce point se démarquer de ses propres valeurs et qu’il puisse ainsi faire l’apologie du mal en soutenant un pays comme le Rwanda.
DIEU SEUL nous rendra JUSTICE
Fait à Londres, le 24 Octobre 2012.
Pour les FEMMES CONGOLAISES DE LA DISPORA,
Marie-Christine BALANGA
Transmis copie pour information aux:
- Aux Gouvernements des pays membres Permanents du Conseil de Sécurité- Au Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique
- Au Gouvernement de la Fédération de Russie
- Au Gouvernement de la République Populaire de Chine
- Au Gouvernement de Sa Gracieuse Majesté Britannique
- Au Gouvernement de la République Française (TOUS A NEW-YORK)
- A Sa Sainteté le Pape BENOIT XVI
Au VATICAN
- Aux Chefs de Confessions Religieuse de Eglises Congo et du Monde entierA tous les Etats Membres des Nations Unies (TOUS A NEW-YORK)
- A tous les Etats Membres de l’Union Européenne (TOUS A BRUXELLES)- A Monsieur le Secrétaire General des Nations Unies (A NEW YORK)
- A toutes les Sociétés Multinationales spoliant les richesses de la RDC
- Aux femmes et aux hommes politiques congolais
- Aux journalistes de la Presse internationales et nationales congolaise
- Aux Organisations Internationales et nationales de défense des droits de l’homme
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Jean-Pierre Mbelu :"Joseph Kabila et la réalisation maximale de sa mission au Congo...Cette guerre nous a été imposée par l’Administration américaine,les gouvernements britannique, canadien et de certains Etats de l'Union Européenne. Ils se servent du Rwanda de Kagame, de l'Ouganda de Museweni,de Burundi et de l'ONU à travers la MONUSCO.
Message de l'ex-Président LULA à ses homologues Africains.
Message de l'ex-président Lula à ses homologues Africains : Cessez de baisser votre pantalon devant les occidentaux.
L'EX PRESIDENT BRESILIEN LULA HUMILIE LES PRESIDENTS AFRICAINS AU SOMMET DE L'UNION AFRICAINE
Suivant l'exemple de l'amerique Latine , l'Afrique devrait decider de
prendre sa vrai independance qui est aux mains des occidentaux , Le
continent Africain qui est riche de gisement mineral et de terre fertile
, aurait en effet toutes le potentialités pour devenir le première
puissance economique planetaire , mais elle est encore opprimée sous la
coupole coloniale des grandes puissances de la terre. ce sont les parole
de l'ex -president bresilien LULA DA SILVA ,qui etait la semaine
dernière en Guinée equatoriale pour la reunion des chef d'etats
Africains .
Lula a invité les chef d'etat à ouvrir les yeux sur ce
qui se passe en Afrique ces derniers mois , en libye et en cote d'ivoire
: l'interference de la France et des etats unis constitue un sérieux
danger pour la souveraineté Africaine et pour les futures générations.
durant l'assemblée generale sur le role des jeunes africains, une
session detachées de la reunion avec theme la crise libyenne, Lula a
accusé les chefs Africains d'ètre avides , d'assoifés de pouvoir , de
trahir leurs propres pays et surtout d'ètre des servants de l'occident !
qui saccagent le continent noir et déciment sa souveraineté. La devise
de ces chefs d'etats étant : "chacun pour soi , Dieu pour tous" ne
portera loin l'Afrique,Il faut le sens de responsabilité, d'humilité,de
dignité et d'Unité pour bien gouverner ! critiquant le fait que les
leaders africains qui sont arrivés au pouvoir par un coup d'état ou pour
le vouloir des puissances occidentales .Il a ensuite critiqué et
denoncé le monopole des 5 pays du monde. ajoutant que: L'UNION AFRICAINE
a 1,4 milliard d'habitants, l'AMERIQUE LATINE 400 000 d'habitants et
que c'est inconcevable que les USA, LA FRANCE,LA CHINE,LA RUSSIE ET LA
GRANDE BRETAGNE dictent la loi au conseil de securité de l'ONU !!!!
surtout que la crise ecomìnomique mondiale provient des etats unis .
et il a deploré le fait que l'UNION AFRICAINE soit financé seulement
par 5 pays africains et le reste par des dons occidentaux.Par
consequent, Pour cela , L'UA ne peut pas faire les interéts de l'Afrique
et avoir un poids au niveau international . C'est cette mème U.A qui
legitime les coups d'ètats,les rebellions ou actions illegales pour
l'obtention du pouvoir en Afrique, ignorant la volonté du peuple et la
finalité des élections .Beaucoup de chefs d'etats presents avaient la
tète basse à qui il a réitéré l'invasion Francaise dans le continent
noir ! LA FRANCE nourrit et arme les rebelles dans les pays qui ont
cessé d'ètre leurs colonies . avec des interferences dans les affaires
internes des pays africains ! c'est clair la reference avec le cas de la
Cote d'Ivoire, où Paris avec l'utilisation de la force a enlevé le
president GBAGBO pour mettre à son poste ouattara.
Si pour la Cote
d'Ivoire ,rien a été fait pour arréter le coup d'état ,l'union Africaine
peut demander le cessez le feu immediat en LIbye. en soutien s'est
ajouté le president Jacob zuma, un des chefs opposants qui tient tète à
l'occident disant qu'ils n'ont pas le droit d'assassiner KADAFI.
Un silence d'ombre dans la salle de l'UA où les présidents qui sont les
talons de l'occident étaient nombreux en occurence ABDOULAYE WADE du
Senegal qui a sejourné à Benghasi pour reconnaitre le gouvernement des
rebelles , BLAISE COMPAORE du Burkina Faso qui ha soutenu la rebellion
de OUATTARA en Coted'Ivoire contre GBAGBO, YOWERI MUSEVENI de l'Uganda
qui combat les AL Shabaab en Somalie , PAUL KAGAME du Rwanda qui saccage
pour le compte de l'occident et puis SASSOU N'GUESSO du Congo
Brazzaville , IDRISS DEBY du TCHAD,PAUL BIYA du Cameroun, FAURE
GNASSINGBE du togo,ODINBA ALI BONGO du Gabon et le dernier récruté qui
s'est ajouté à la dependance des des puissances de l'oppression est
ALLASSANE OUATTARA de la cote d'ivoire !
TEXTE EN ITALIEN ENTIEREMENT TRADUIT EN FRANCAIS PAR KOUAME CELESTIN N'BRAH
LE LIEN D'UN JOURNAL OFFICIEL ITALIEN :WWW.rinascita.eu
by Lendo Kumbu
Quand le Congo s'éveillera.
Voici comment des étrangers et des Congolais pillent et ruinent le Congo
Quand le Congo et les Congolais s'éveilleront, ils demanderont des comptes. Alors nous les informons. Et voici ce qui a été lu sur "Debout Congolais".
"EVEIL PATRIOTIQUE DU PEUPLE CONGOLAIS"
JEAN-CLAUDE MASANGU MULONGO N’EST QU’UN TRAITRE, UN
COLLABO AU SERVICE DE L’IMPOSTEUR KABANGE KANANBE MUTUALE ALIAS JOSEPH KABILA
QUE LES CONGOLAIS DOIVENT CAPTURER MORT OU VIF. VOUS LE COMPRENDREZ EN LISANT ATTENTIVEMENT
CETTE ENQUETE SUR LA LIQUIDATION FORCEE DE LA BANQUE CONGOLAISE.
USD.
195.000.000 ont été dilapidés à la Banque Congolaise avec la complicité
de la Banque Centrale du Congo (BCC). Au premier trimestre 2011, la BCC a
réalisé un déficit de franc congolais 75.000.000.000 soit dollars américains
81.521.739. A ce sujet, une enquête parlementaire avait été initiée. Selon
certaines indiscrétions, le Conseiller Spécial du chef de l’Etat, Monsieur
Pierre Lumbi aurai bénéficié des largesses de l’ordre de dollars américains
5.000.000 de Roger Alfred Yaghi, pour empêcher l’aboutissement de cette
enquête… Dans cette hypothèse, la « tolérance zéro » ne serait qu’une
poudre aux yeux des congolais !
Jean -
Claude MASANGU MULONGO, l’actuel Gouverneur de la BCC, Herman Cohen de Swift
International (société américaine) et Natacha MUAMBA ZABIBU (actionnaire
« sur papier », cousine de Jean-Claude MASANGU MULONGO et secrétaire
de Roger Yaghi) sont impliqués dans le blanchiment d’argent en RDC en complicité
avec leur « associé Kamikaze », monsieur Roger Yaghi, sujet libanais
« récidiviste » car expulsé n° 33 - visa d’entrée du 13 août 1994 –
n° 000743 du décret n° 0004 du 22 février 1995 de monsieur KENGO wa DONDO Léon
(alors premier Ministre sous le régime du dictateur MOBUTU) portant expulsion
des personnes étrangères dont la présence et la conduite ont compromis et
continuent à compromettre l’ordre public congolais, spécialement en matière
économique, financière et monétaire.
QUI EST
MONSIEUR ROGER ALFRED YAGHI EN SIGLE « RAY »?
Il est
l’aîné d’une famille de cinq enfants portant (tous) les initiales (RAY), en
occurrence :
-
Roger Alfred Yaghi (RAY)
-
Roland Alfred Yaghi (RAY)
-
Roméo Alfred Yaghi (RAY)
-
Robin Alfred Yaghi (RAY)
-
Robine
Alfred Yaghi (RAY)
Et ceci a
donné le nom au « RAY GROUP » qui a des tentacules jusqu’en Afrique
du Sud. En RDC, ce groupe possède plusieurs sociétés telles que : SGI,
SAFRIMEX, DELTA PROTECTION, ITB, TRANSAL…
Durant la 2ème
République, il a été poursuivi pour le « DETOURNEMENT » des deniers
publics. Lorsque Christophe BEYEYE DJEMA fût DG de la DGDA (ex OFIDA), Roger
Alfred Yaghi a eu à gérer les « QUITTANCES SPECIALES » (QS) de la
DGDA (ex. OFIDA), en faisant circuler plusieurs numéros de celles-ci à
plusieurs endroits à la fois, une des raisons pour laquelle il fût
« EXPLUSE » (Cfr. Le décret n°0004 du 22 février 1995 portant
expulsion des personnes étrangères) de la République du Zaïre lors du dernier
mandat de KENGO wa DONDO Léon à la primature. Ce décret d’expulsion, jusqu’à ce
jour, n’a jamais été abrogé.
Toujours
lors de la 2ème République, il avait créé une société de
télécommunication du nom d’ATN (AFRICAN TELECOMMUNICATION NETWORK) qui a eu à
gérer pendant un temps les communications de la Présidence de la République
sous MOBUTU. Ayant résidé clandestinement au pays après son expulsion, il fuya,
à la mort du Général MAHELE, son « PROTECTEUR », vers le Liban via
Brazzaville.
Roger Alfred
Yaghi a attaqué la République pour sa créance d’ATN au PGR. Quand M’zee Laurent
Désiré KABILA l’avait appris, il avait instruit le PGR pour le non
« PAIEMENT » de cette créance ; Une perquisition avait même été
opérée à sa résidence sise 44, avenue Kalemie, dans la commune de la Gombe ou
sous la supervision de feu Damien NDEBO, ancien IGA de la Police Judicaire des
parquets et plusieurs machines et des billets de « FAUX DOLLARS »
auraient été saisis.
Ce monsieur,
« protégé de l’actuel pouvoir et de l’entourage de Joseph KABILA »
étant rentré clandestinement dans son Liban natal, est revenu au pays une
semaine après la mort de M’zee Laurent Désiré KABILA. Et à peine rentré, il a
pu faire aboutir son action contre la BIAC en obtenant un
« jugement » intimant la République de payer la créance ATN qui avait
cédé sa créance à la société « TRANSAL » qui lui appartient. Et c’est
cette somme d’argent payée par la BIAC qui aurait servi à créer :
I.
LE BUREAU DE
CHANGE « CONGO EXCHANGE »
C’est un
bureau de change placé sous la responsabilité de Monsieur Ambroise TSHIYOYO qui
en réalité appartient à Monsieur Roger Yaghi, Monsieur Ambroise TSHIYOYO n’est
que le beau-frère de Roger Yhagi et frère aîné de son épouse, Madame Florentine
KALUBI TSHIMANGA.
Du mois
d’août 2001 à août 2003, en quête de devises, pour le financement du programme
de reconstruction du pays, la BCC a été amenée, à la demande du gouvernement à
recourir auprès des bureaux de change. Dans ce cadre, la BCC, avait débloqué et
mis à al disposition des bureaux de change, le montant de CDF. 23.000.000.000
réparti comme suit :
-
CONGO
EXCHANGE
CDF. 14.812.433.000
-
TOP
FLOUZ
CDF. 3.964.400.000
-
SOFICOM
CDF. 3.102.550.000
-
ZECOPAL
CDF. 1.430.785.000
-
HASSAN
IBRAHIM
CDF. 520.809.000
-
LUFAU
KIMWISI
CDF. 495.800.000
-
GENERAL EXCHANGE
CDF. 312.000.000
-
MASTER
CHANGE
CDF. 283.113.500
Il importe
de signaler ici que la contrepartie en devises du montant mis à la disposition
de « CONGO EXCHANGE » n’est retracable nulle part dans les livres de
la BCC. A quoi a servi cet argent ? Quelle en est sa destination, Qui en
est le bénéficiaire ?
II.
BANQUE
CONGOLAISE (actuellement en liquidation forcée)
L’actionnariat
de la Banque Congolaise se présente comme suit :
° Swift
Developments Int
LLC
39, 2% 3.539.777 actions USD. 17.698.885
° Mme
Florentine KALUBI TSHIMANGA
36,1% 3.252.777 actions USD. 16.263.885
° M. Umeldadi
Roshanali
Dhrolia
13,9% 1.252.778 actions USD. 6.263.890
° Etat
congolais
10,0% 900.000 actions USD. 4.500.000
° M. Mahfooz
Salem Bin
Mahfooz
0,3% 27.355 actions
USD. 136.665
° M. Daoud
Mourad
0,1%
5.467 actions USD. 27.335
° M. Abul
IIah
Nasser
0,1% 5.467 actions
USD. 27.335
° M. Mahmoud
Mattar
0,1%
5.467 actions USD. 27.335
° Ghandour
Industrir Congo
sprl
0,1% 5.467 actions
USD. 27.335
° M. Mbonga
Bolo
Trandogbia
0,1% 5.467 actions
USD. 27.467
TOTAL
9.000.000
actions USD. 45.000.000
Observations
·
La société
Swift International, détentrice de 39% du capital, est une société américaine
au capital de USD. 100, détenue à 92% par Monsieur Roger Yaghi qui en a confié
la gestion à Monsieur Herman Cohen. Les 8% sont détenus par Madame Natacha
MUAMBA ZABIBU, cousine de Jean-Claude MASANGU MULONGO (Gouverneur en
fonction de la BCC) et secrétaire de Monsieur Roger Yaghi.
·
Madame
Florentine KALUBI TSHIMANGA, détentrice de 36% du capital, est l’épouse de
Monsieur Roger Yaghi, le PCA du Conseil d’Administration de la Banque
Congolaise.
III.
LA FICTION
DE L’AUGMENTATION DU CAPITAL INTERVENUE EN 2010 AVEC LA COMPLICITE DE LA BCC
Suivant le
PV de l’assemblée générale du 10 mai 2010, La Banque Congolaise a procédé à
l’augmentation du capital de USD. 20.000.000, le portant de USD. 25.000.000 à
USD. 45.000.000. Selon ce PV, l’apport de USD. 20.000.000 a été effectué par la
conversion du prêt subordonné en apport en capital ! Après
vérification, il se dégage que le prêt subordonné en apport en
capital « n’a jamais existé ». La libération du capital pour le
compte des souscripteurs, la société Swift International (USD. 10.000.000) et
Madame Florentine KALUBI TSHIMANGA (USD. 10.000.000) a été faite à partir de
plusieurs virements provenant du compte « HEREDIUM » qui est en fait
une société de gestion immobilière dont les actionnaires sont Monsieur Roger
Yaghi, le PCA de la Banque Congolaise, son épouse (Madame Florentine KALUBI
TSHIMANGA) également actionnaire et leur fils.
Cette
supercherie réalisé par la Banque Congolaise avec le concours du cabinet
DELOITTE&TOUCHE Congo sprl a permis à Monsieur Roger Yaghi de simuler
les apports des actionnaires par des « FAUSSES ECRITURES COMPTABLES »
qui consistaient notamment à transformer les dépôts en apport en capital et
cela à partir des virements de certains comptes en divises à soldes débiteurs.
L’augmentation
du capital de USD. 20.000.000 résulte des versements d’espèces de USD.
1.200.000 de HEREDIUM pour le compte de l’actionnaire Florentine KALUBI
TSHIMANGA et de USD. 18.800.000 de virement de compte à compte dont USD.
8.800.000 pour Florentine KALUBI TSHIMANGA et USD. 10.000.000 pour Swift Developments.
En réalité,
le capital n’a été augmenté que de USD. 1.200.000 et non de USD. 20.000.000.
L’actionnariat de la Banque Congolaise pose problème ainsi que son augmentation
du capital. Les actionnaires dont l’Etat n’ont « jamais souscrit et libéré »
formellement dans les livres des actionnaires excepté Madame Florentine KALUBI
TSHIMANGA et Monsieur Umedali.
IV.
LES
IRREGULARITES « FLAGRANTES » CI-APRES ONT ETE CONSTATEES AU 31
DECEMBRE 2010 PAR LE CABINET D’AUDIT KPMS
-
Des charges
d’intérêts de CDF. 10.736.000.000 sur les concours reçus de la BCC, ont été
sous-évalués ;
-
Des
facilités permanentes de CDF. 403.000.000 dont a bénéficié la Banque Congolaise
n’ont pas été comptabilisées ;
-
Des intérêts
de CDF. 302.000.000 sur call money ont été surestimés ;
-
Des avances
faites par la BCC en paiement des tiers pour le compte de la Banque Congolaise
n’ont pas été comptabilisées pour CDF. 7.868.000.000 (GAVI pour USD. 8.543.227
– Gouvernorat province Oriental pour CDF. 57.000.000 – MONUSCO pour USD.
62.000) ;
-
Des
opérations de change de CDF. 365.000.000 avec la BCC n’ont pas été
comptabilisées ;
-
Des dons et
libéralités de CDF. 1.475.766.000, soit USD. 1.500.000 ont été accordés sur les
dépôts des clients par Roger Yaghi (selon certaines indiscrétions des agents
« mécontents » de cette banque en faillite programmée, les Directeurs
et fonctionnaires de la BCC en sont les bénéficiaires…) ;
-
Des crédites
de CDF. 4.884.613.960, soit USD. 5.309.363 ont été accordé sans dossiers ni
garanties. Au 31 décembre 2010, ces autorités politico-administratives étaient
insolvables. Il s’agit de :
1. KABILA Jaynet, présidente de la
fondation Mzee Laurent Désiré Kabila (sœur jumelle du Président de la
République) ;
2. TSHIBANDA N’TUNGA MULOMBO Raymond,
ancien ministre et acteur politique de l’opposition ;
3. KANDE MUPOMPA Alex, ancien directeur
de cabinet du ministre de budget du gouvernement 1+4, Muamba Tshishimbi
François ;
4. MABI MULUMBA Evariste, ancien
premier ministre ;
5. KAMANDA wa KAMANDA Gérard, Acteur
politique
6. MUTINGA Modeste, propriétaire du
journal « le potentiel » MATENDA KYELU Athanase, Ministre des
Finances honoraire ;
7. KIN KEY MULUMBA Tryphon,
propriétaire du journal « le soft international »,
8. GHONDA MANGALIBI Antoine
9. BEMBE SAOLONA Jeannot, (+)
10. MUAMBA TSHITSHIMBI François
11. BEYA KASONGA François, DG/DGM
-
Des
transferts ordonnées et exécutés par la Banque Congolaise n’ont pas été
enregistrés par sa propre comptabilité (CITIBANK LONDON CDF. 147.000.000 –
CITIBANK NEW YORK CDF. 29.000.000 – BANK OF BEIRUT CDF. 108.000.000) ;
-
Des
transferts reçus des correspondants n’ont pas été enregistrés par la
comptabilité de la Banque Congolaise (CITIBANK CDF. 75.000.000 – BANK OF BEIRUT
CDF. 16.000.000 – KBC BRUXELLES CDF. 109.000.000) ;
-
Des intérêts
et des frais aux correspondants n’ont pas été comptabilisés pour CDF.
143.000.000 à la LIBANESE CANADIAN BANK (LCB) ;
-
Des
transferts des clients de CDF. 1.326.000.000 non exécutés par la Banque
Congolaise.
De ce qui
précède, monsieur Roger Alfred Yaghi est très influent dans tous les
milieux. Il a dans sa poche plusieurs hommes politiques tant de l’opposition
que de la majorité présidentielle (MP) qui ont souvent bénéficié de ses
largesses financières :
01. MUAMBA TSHITSHIMBI
François
USD. 1.536.736,41
02. TSHIBANDA N’TUNGA MULONGO
Raymond EUR. 25.002,59
USD. 829.993,78
USD. 107.712
03. KAMANDA wa KAMANDA
Gérard
USD. 703.123,16
04. PRESIDENCE DE LA
REPUBLIQUE
USD. 464.151,08
05. MATENDA KYELU Athanase
USD.
453.174,68
06. MUTINGA Modeste
USD. 338.303,8
07. KIN KIEY MULUMBA
Tryphon
USD. 269.078,88
08. BEMBE SAOLONA
Jeannot
USD. 231.506,6
09. BEYA
MASANGA
USD. 127.228,41
10. BEYA KASONGA
USD.
123.972,68
11. GHONDA MANGALIBI
Antoine
USD.81.094
12. MABI MULUMBA
Evariste
USD. 4.364,53
13. KANDE MUPOMPA Alex
EUR.3.173
Ces
messieurs qui ont profité de ces largesses se retrouvent dans le
Gouvernement, au Parlement, au Sénat, dans la Police, dans l’Armée, dans les
Services de sécurité, à la Présidence de la République, à la Banque Centrale du
Congo parmi lesquels Willy MUDIAYI MPINGA, Jean Marcel KALUBI KAYEMBE, Louis
N’SA ELONGO, Déogracias MUTOMBO MWANA NYEMBO, Willy KALOMBO NSENDA, MUPEPE LEBO
et autres cadres de la Direction de la Surveillance des Intermédiaires
Financiers « DSF » bénéficiaires des « dons et libéralités »
de FC. 1.475.766.000, soit USD. 1.500.000 au taux de 1 USD à 920 FC pour leurs
prestations extra horaires « pots-de-vin » qui représentent 95% des
« Charges hors exploitation » hormis les manquants de caisse de FC.
22.335.000 et les autres charges de FC. 54.555.000 sur un total de FC.
1.554.656.000 au 31 décembre 2010.
Ces
libéralités ont été octroyées sur les dépôts des clients
et « camouflés » dans les états financiers comme étant des
« charges hors exploitation » et surtout dans la magistrature que
monsieur Roger Alfred Yaghi a beaucoup de complices dont l’actuel
PGR, Flory KABANGE NUMBI. C’est de cette façon qu’il a pu faire
« élire » un de ses avocats, Me TSHIBANGU KALALA comme « Député
National ». Sans oublier aussi que l’ancien Président de l’Assemblée
National, Evariste BOSHAB, fût un de ses « avocats ». A cause de
cette « influence », il avait « promis » et
« obtenu » de faire « révoquer » l’Avocat Général (AG)
KANIKA pour avoir « instruit » et « enquêté » sur la Banque
Congolaise à ses débuts ; cette action avait abouti à la liquidation de
cette banque qui a repris ses activités à la démission du ministre des Finances
Freddy MATUNGULU.
Dans son
palmarès en RDC, monsieur Roger Alfred Yaghi était à la base des
« OPERATIONS CHEQUES CONTRE ESPECES » qui étaient à la base des
pillages en 1992.
Avec la
Banque Congolaise, ce dernier a racheté certaines dettes publiques pour
lesquelles la BCC a déjà payé le principal et les pénalités de retard supposés.
C’est une
créance (négocié par Me BOKATA KUNDAKA) d’USD 37.851.032 réparti comme
suit :
01. SOCIETE CELYEL (ex
STARCEL)
USD.18.556.361
02. SOCIETE
OFFIZAIRE
USD.7.704.761
03. SUCCESSION
LENGELO
USD 5.000.000
04. SOCIETE FAXIM
USD. 6.600.000
-
En dépit des
termes trop généraux et captivants du « PROTOCOLE D’ACCORD » entre l’Etat
congolais et la Banque Congolaise, il n’est pas à perdre de vue que cette
banque s’est en réalité porté fort pour recouvrer les créances des tiers, dont
le collectif de quatre (4) créanciers et de les payer consécutivement et qu’en
rémunération de ce service, pouvoir gagner 15% et éventuellement 18% de
pénalités en cas de retard dans le paiement.
-
A ce jour La
Banque Congolaise n’a pas honoré ses engagements alors que ces montants sont
destinés à ces entreprises telles STARCEL, en faillite dont les ex.
Travailleurs sont les principales victimes.
On a laissé
entendre au sein de l’USAID, que le Gouverneur la Banque Centrale du Congo
(BCC), monsieur Jean-Claude MASANGU MULONGO, serait actionnaire à travers sa
cousine Madame Natacha MUAMBA ZABIBU (actionnaire sur papier et secrétaire de
Roger Alfred Yaghi) dans les capitaux productifs de la Banque Congolaise (BC).
Ce dernier était bel et bien au courant de ces opérations en réalisation sur
base des masses d’argent à origine floue. C’est ici qu’il a été remarqué la
part active réalisé par le gouvernement de la RDC dans ces opérations de
blanchiment d’argent.
De tout ce
qui précède, nous déclarons clairement que Jean-Claude MASANGU MULONGO, actuel
Gouverneur de la Banque Centrale du Congo est impliqué dans l’affaire du
Libanais chrétien Alfred Roger Yaghi autour de la faillite jugée frauduleuse de
la Banque Congolaise (BC, ex.UBC, ex UZB) portant sur la disparition de USD.
300.000.000 du trésor interne.
Des analyses
faites sur cette situation respectivement dans les secteurs de travail
spécialisées à Kinshasa jugent cette « FAILLITE BRUTALE » de la
Banque Congolaise (BC) comme un phénomène normal et propre au processus en fin
d’accomplissement des actes de « BLANCHIMENT » de l’argent sale.